11 avril 2016 par doris voleau

Le succulent soufflé au fromage de Tia Dadette, juste une tuerie!!!!!

Un petit plat facile, léger, savoureux, et vite fait qui peut s’accommoder avec plein de petites choses, le Soufflé au Fromage…
Les seuls impératifs, c’est de ne pas manquer de gaz, de ne pas ouvrir la porte de votre four pendant la cuisson (même pour regarder s’il « monte » bien, car tout serait raté… et le préparer quand tout le monde est là, 1/2 h avant de le servir tout beau, gonflé, appétissant.

pour 4 personnes,
– 4 beaux oeufs
– 50 gr de beurre
– 40 gr de farine tamisée
– 1/4 L de lait entier
– 100 gr de fromage râpé finement (style Gruyére ou Emmental) et un peu plus pour le mettre dans le moule de cuisson
– Sel, Poivre fin

Séparez les jaunes des blancs d’œufs, et réservez les blancs dans le bol (ou cul-de-poule) dans lequel vous allez les monter en neige, bien au frais au réfrigérateur.
Préparer un roux avec le beurre fondu tout doucement, y ajouter la farine tamisée, (sortez la casserole du feu si nécessaire) et ajoutez le lait peu à peu en fouettant pour éviter les grumeaux…
Une fois ce petit roux refroidi, incorporez le jaune des œufs un à un pour obtenir une belle homogénéité. Ajoutez le fromage râpé. Ajoutez un peu de poivre, et rectifiez le sel si nécessaire, selon le fromage choisi

Voilà le principal de fait, vous pouvez le préparer un peu en avance, en le gardant à température ambiante surtout, la dernière étape pouvant attendre. Cela vous laisse le temps de préparer son accompagnement..

1/2 h avant de servir, montez les blancs d’œufs en neige bien ferme avec une pincée de sel fin, et incorporez-les délicatement dans votre préparation.
Dans un moule á soufflé (choisissez un plat rond en faience allant au four, à bords droits, ou des ramequins, toujours en pensant que votre préparation va presque doubler de volume à la cuisson), beurré, et « fromagé » (une fois le moule beurré, faites « coller »un peu de fromage râpé sur toutes les surfaces, fond et bords) versez la préparation obtenue, et dans un four préchauffé à 6, laissez entre 20 et 25 mn…. En ramequin la cuisson est plus rapide. Et servez de suite en lui évitant les « chaud-froid » pour que vos convives puissent le voir bien gonflé, il peut retomber très vite ! mais restera toujours aussi bon, ne vous inquiétez pas

Ce soufflé, vous avez bien vu très simple à réaliser, ravira famille (enfants compris bien sûr) et amis, et vous pouvez l’accompagner de plein de bonnes petites choses fraîches, selon les convives et leurs goûts
– jambon, salade très variée (laitue mélangée/(chou-roucoula-chêne-chou chinois-ce que vous avez ou trouvez), betterave râpée, radis en rondelles, pomme-fruit en morceaux légèrement citronnée pour éviter qu’elle ne noircisse, noix, noisette, amande, oignon coupé finement, persil, ciboulette, estragon, fenouil, raisin sec poché, carotte râpée finement, etc…) queues de crevettes cuites, tranches de saumon, poisson, poulet rôti froid, boudin,……….. l’éventail est très grand, faites votre choix avec ce que vous avez et ce que tous aiment……. le Soufflé au Fromage va pratiquement avec TOUT … et tous !

Après un premier essai de Soufflé au Fromage, vous pourrez un peu jouer.. en y ajoutant un peu de poisson, ou de crevettes, ou du boudin noir (dans le fond un peu de la préparation du Soufflé, un peu de la garniture de votre choix parsemée, (celle que vous servirez á part également), puis le reste de la préparation). Il est important dans ce cas que la garniture soit finement émincée, car elle risquerait de ne pas faire monter le Soufflé correctement). Mais sincèrement, je préfére le Soufflé au Fromage totalement « nature » comme il est, et avec ses accompagnements bien à part, et

Bon Appétit !!

6 avril 2016 par doris voleau

Costarena, un petit lolo gourmand, tout au bord de l’eau.

Je passe chaque jour devant, il est situé à 500 m de chez moi et je ne connaissais pas. Costarena beach, une belle découverte sur la plage, à quelques mètres de l’océan. Ce petit resto, sans prétention n’est pas sans rappeler les petits lolos sympas et gourmands que l’on peut trouver dans les Antilles Françaises, à Grand Case (St Martin), par exemple. Le décor est sommaire, mais en même temps, situé comme il l’est, inutile d’en faire des tonnes, le panorama se suffit à lui-même, la mer, le sable doux, quelques palmiers majestueux, des bateaux nonchalants….. Un petit kiosque sur le sable, des tables de bois dedans, derrière des rideaux transparents pour protéger du vent ou carrément sur la plage, très, très, très près de l’eau pour profiter au maximum de ce site privilégié. L’accueil est sympa, Yves le maître des lieux ne manque pas de venir se présenter et de s’inquiéter de votre confort. C’est un homme charmant, très soucieux de sa clientèle et de l’environnement. Il a racheté il y a quelques temps ce complexe hôtel-restaurant, a tout cassé, tout rénové, décoré et en a fait un lieu très prisé des touristes de tous poils.

La cuisine qu’il propose, élaborée par un jeune chef dominicain est fraîche, variée, créative. Poissons du jour, salades de poulpes, de lambis, camarones, mais aussi filet de porc au gorgonzola, tartare de boeuf ou de poisson, succulent poulet ou belles assiettes de pâtes ou de raviolis copieusement et joliment servies. Les plats changent régulièrement et au déjeuner, un plat du jour à prix tout doux ravit les papilles. Encore une belle adresse pour un déjeuner les pieds dans l’eau ou un dîner romantique.

Costarena . Playa Las Ballenas (à quelques encablures du Village des Pêcheurs).

5 avril 2016 par doris voleau

Un lundi plein de belles rencontres…. la jardinerie de Los Puentes

Astrid, très à l’aise et Estelle Maria, la patronne

Il était temps que je réagisse, mon joli grand jardin commençait sérieusement à se déplumer par endroits. Il faut dire que depuis sa création, il y a 13 ans, je l’avais certes chouchouté, câliné mais, devant sa profusion d’arbres et arbustes, véritable jungle, je n’avais pas prêté attention à ses petits coins pelés, passant plus de temps à tailler, couper, élaguer, déboiser qu’à planter. Oui mais, une jungle qui pèle par endroits c’est pas terrible. Help, il me faut des plantes! Un petit message à ma copine, celle qui aime jardiner, qui est gentille tout plein et que je ne vois pas assez souvent et qui en plus a une grosse auto, mais oui, c’est Astrid.

Dans un camaieu de verts et de bleus

Et nous voilà parties en balade, sur une route merveilleuse. La jardinerie de Los Puentes existe depuis une vingtaine d’années, situées avant le hameau de Los Puentes, elle s’étend sur plusieurs hectares d’un terrain escarpé qui jouit, tout en haut d’une vue à couper le souffle. C’est Estelle Maria, la jolie propriétaire qui nous accueille, son mari est sur un chantier, mais Astrid, habituée des lieux, la rassure bien vite, on va se débrouiller toute seules avec l’aide cependant d’un jeune employé et de sa brouette. Le chemin est tout pourri mais le paysage grandiose, composé de camaieux de verts épousant un camaieu de bleu de ciel et d’océan. Magnifique avec comme seul bruit de fond le chant de centaines d’oiseaux. Le choix est vaste et varié, en petits pots, grands pots ou plantées en pleine terre toutes les plantes exotiques s’offrent à ma convoitise. Il y a les palmes bien sûr, les fougères arborescentes cachées bien à l’ombre d’arbres gigantesques, les fougères classiques, les patchoulis vaporeux, les hibiscus, bougainvilliers, lauriers roses, les lianes comme le ravissant clérodendron et ses délicieuses clochettes blanches et rouges. Puis il y a les plantes fleuries, le magnifique thunbergie aux délicates fleurs violettes, le dentellaire ou plombago couleurs myosotis, les belles heliconies aux longues fleurs tombantes, les gingers, les crinoles, les frangipaniers odorants, les alamandas et même de précieuses petites roses.

La brouette est pleine, il faut redescendre en faisant bien attention de ne pas se casser le nez, régler la facture (toute douce la facture) et faire entrer tout ce petit monde dans l’auto.

Bye bye Estelle Maria, à tout bientôt.

5 avril 2016 par doris voleau

Salon B comme Bruno.

Son agenda surbooké est digne d’un coiffeur de stars, d’un coiffeur star ! Et pourtant, c’est avec une gentillesse et une simplicité déconcertante que Bruno s’occupe de vos cheveux.

Les candidates à l’élection de miss Las Terrenas….

Plus qu’un job, la coiffure, c’est sa folle passion. Originaire de Perpignan, il a exercé son art à Barcelone avant de venir en République Dominicaine. C’est qu’il aime barouder Bruno, découvrir de nouveaux pays, de nouvelles personnes. Même qu’un jour, lors d’un voyage au Brésil, il est tombé amoureux d’un petit village qui, je vous le donne en mille, m’a séduit moi aussi, à tel point que j’y ai acheté une maison de dessin animé sur la plage et que je comptais bien y finir ma vie avec mon Mimi et mes 8 chiens (à l’époque). Trancoso, une vision de carte postale mais une réalité un peu plus rude. Je suis revenue et Bruno qui rêvait lui aussi de s’y installer, par le plus grand des hasards a ouvert son salon à Las Terrenas. Pour notre plus grand bonheur, soit dit en passant. Depuis 3 ans, son joli salon, sobre, chic et raffiné de la Plaza Rosada (Lindo) ne désemplit pas. Il faut dire qu’immédiatement, il a su inspirer confiance à une clientèle désormais fidèle, en instaurant un dialogue, en étant à l’écoute et en faisant preuve d’une incroyable créativité. A tel point qu’il travaille aujourd’hui en partenariat avec Jacky qui nous vient tout droit de Majorque. Sympa et talentueux, il partage avec Bruno le même amour de la beauté et des choses bien faites. Sa petite chienne Coco, tirée de justesse d’une poubelle le suit pas à pas sauf quand elle s’échappe pour batifoler avec sa copine d’à côté…. ce qui met Jack y dans tous ses états. Vous l’aurez compris, non seulement ces deux coiffeurs sont au top de la qualité, mais ils travaillent avec une décontraction absolue et revigorante.

Shampooing à l’eau minérale

Et Jacky coupe devant la porte, c’est pas beau çà.

Je ne vous parle pas de mardi dernier, lors de l’interminable coupure de luz….. un sketche. Trop chaud à l’intérieur, Jacky avait installé son poste de travail devant la porte, et s’il y effectuait ses coupes, c’est carrément au Lindo, devant des clients ébahis qu’il faisait ses brushing (ben oui, ils ont une planta). Trop drôle et malgré cet incident de parcours burlesque, nous sommes tous sortis ravis de notre nouvelle tête. Ah oui, Bruno ne se contente pas de vous faire jolie, il s’intéresse à l’après coupe et justement, il vient de me passer un petit coup de fil pour savoir si j’étais toujours contente. Si ce n’est pas du professionnalisme ça. Merci Bruno de nous rendre plus belle et s’il te prend l’envie de reprendre ta valise pour d’autres lieux, pars vite en vacances, repose toi, mais reviens nous vite, tu fais partie maintenant des incontournables de Las Terrenas.

4 avril 2016 par doris voleau

Balade aux Antilles françaises, le poisson différemment avec Tia Dadette…..

Truculente et appétissante et drôle…., cette recette de Tia Dadette, haute en couleurs, nous invite à un voyage dans les Antilles Françaises qu’elle connaît si bien. Aujourd’hui, Le Court-Bouillon de Poisson à l’Antillaise..et la Daube de Poisson.

Le court-bouillon

Le court-bouillon français est à base de bouillon « clair », c’est-à-dire avec de l’eau claire, oignons, ail, herbes et épices….. aux Antilles, les épices variant un peu, cela s’appelle un « Blaff »…

et le court-bouillon Antillais est à base de tomates fraîches…

– Poisson : normalement on choisit les poissons « de cayes » petits mérous, ou autres, le meilleur restant le petit mérou car sa chair est bien blanche, savoureuse, et reste ferme à la cuisson… on les choisit petits car on les met entiers ou coupés en 2 car la tête donne une texture et un goût à la sauce incomparable, comme pour la soupe de poissons .

Mais vous pouvez tout aussi bien le faire avec de beaux filets ou des darnes du poisson de votre choix.

– Court bouillon: Tomates fraiches bien mûres (les Barcelos sont parfaites, vous savez les petites ovales, moins chères et la peau fine) Oignon, ail, Bois d’Inde (Malagueta en grain) Laurier feuille, clou de girofle, citron vert juteux, cives hâchées (ciboule) piment fort et parfumé (chez Ada au Paseo ils sont très biens, les autres sont forts sans beaucoup de parfum)

Au moins 3 heures avant la préparation du plat, préparez votre poisson… pour les poissons entiers tailladez un peu la chair en biseaux pas profonds, mettez du jus de citron vert,et frottez vos morceaux de poissons avec du piment, puis ajoutez du sel, du poivre,de l’ail pilé, et frottez les bien, ils sont au hammam…. vous ajoutez de l’eau à température pour qu’ils prennent leur petit bain et s’imprègnent de toutes les saveurs, la détente..

Coupez les oignons blancs en lamelles plutôt fines, écrasez l’ail, coupez les tomates sans les éplucher ni les épépiner….

Traditionnellement l’huile utilisée est l’huile de roucou…. il vous suffit d’avoir de l’huile végétale, dans laquelle vous mettrez une bonne semaine à l’avance des graines de roucou (Bija, Ada en a je crois)… vous connaissez sans doute cette graine rouge, utilisée par beaucoup de gens aux Antilles et en Amazonie, pour les préparations culinaires, ainsi que pour la peau qui devient bien rouge car c’est un fort colorant mais qui protège également des brûlures du soleil.

Donc cette huile de roucou (qui peut être utilisée aussi par vous Mesdames pour aller au soleil, mais attention elle tâche fort les vêtements) va donner une belle couleur à votre plat ainsi qu’une petite saveur bien particulière..

A défaut de cette huile de Roucou, on utilise de l’huile d’Olive, bien connue pour ses bienfaits et sa saveur… Vous la chauffez un peu dans une grande sauteuse, y jetez à mourir les oignons, puis les tomates coupées, l’ail, vous ajoutez le sel pour faire dégorger les tomates et ajoutez toutes les autres épices…… Vous laissez se marier le tout un petit instant, vous ajoutez un peu d’eau et vous couvrez….

Vous me direz : « et le piment???? »

2 solutions pour le piment

– Traditionnellement pour le piment, on le choisit bien rouge, car pas trop fort mais bien costaud quand même, et plein de parfum….. et on le met ENTIER dans le court-bouillon…. là il faut faire très attention, car le court-bouillon doit juste « frissonner », non bouillir car le piment ne doit JAMAIS éclater………. sinon c’est immangeable !!

– Vous coupez un morceau à peu prés d’un centimètre de piment, sans les graines attention car sinon c’est L’Enfer du Court-Bouillon !!!!!!!

Une fois le Court-Bouillon prêt, il faut qu’il y ait une bonne base liquide, vous y posez le poisson à y mijoter doucement, avec un peu de sa marinade, pas trop longtemps, 5 mn à peu prés de chaque côté et encore, tout dépend de l’épaisseur de votre poisson (pour les filets 2 mn de chaque côté sera largement suffisant)…. vérifiez l’assaisonnement pour le sel, et un filet de citron si nécessaire en fin de cuisson.

La Sauce du Court-Bouillon doit être assez liquide si l’on veut l’accompagner d’igname (ñame) , manioc (yuca) et autres racines,ou de fruit-à-pain, ces fruits ou racines qui « pompent » pas mal de liquide quand on les écrase un peu dans l’assiette et qu’on y mêle un peu de sauce… à se lécher les doigts ! on le fait un peu moins liquide quand on l’accompagne simplement de riz blanc et/ou de banane jaune bouillie.

Pour la DAUBE DE POISSON

toute la base reste la même, sauf que….. on sort le poisson de sa marinade, on le sèche bien avec du papier absorbant, on l’enrobe de farine tamisée dont on enlève le maximum avant de FRIRE le poisson dans de l’huile végétale bien chaude, afin qu’il prenne une belle couleur dorée et qu’il soit croustillant, sans toutefois le cuire…

Le poisson cuira par la suite, moins longtemps qu’auparavant évidemment, et donnera une autre texture et goût á la sauce, qui, celle-ci sera plus dense….

Je vous promets une belle explosion de saveurs en bouche, un grand plaisir, le poisson étant bien sublimé dans ce petit repas simple et facile á préparer…..

Bon Appétit !!!

1 avril 2016 par doris voleau

Al Pasito, un petit nid bohême-chic au cœur du village

Des petits plats qui changent selon la fantaisie des cuisiniers et l’arrivage du marché.

Je vous en ai parlé il y a quelques jours, et, pour être tout à fait certaine, nous y avons déjeuné jeudi. Je confirme, Al Pasito et son décor bohême chic est un véritable havre de paix au milieu du village. Un endroit nature où, d’emblée, on se sent super à l’aise.

Sabine, la jolie cuisinière et son incroyable tablier en torchons…. j’adore..

Une belle histoire de famille. Aux fourneaux, Sabine, pour le déjeuner. Craquante, jolie, pétulante, vive, créative, ingénieuse, fine cuisinière bourrée de charme et particulièrement sympa. Une cuisine familiale, bonne et sans chichi qui change au gré des envies de la cuisinièer et, bien sûr, du marché. Aujourd’hui, sur le grand tableau noir: tartes poireaux ou tomates mozza, tièdes, moelleuses, juste parfaites, accompagnées d’une petite salade mélangée d’un autre monde, carpaccio de bœuf, pechuga de poulet sauce champignons, mille-feuilles de tomates mozzarella sans oublier un succulent hachis parmentier qui termine de prendre de belles couleurs au four. Peu de produits en fait, mais d’une fraîcheur et d’un goût exquis et cuisinés avec beaucoup d’amour. Oups j’allais oublier les desserts, mousse au chocolat onctueuse, flan coco fondant et parfumé ou crumble pommes chinola….. une tuerie. C’est Léo, le fils de Sabine, même bouille, même décontraction qui officie en salle, un service aux petits soins efficace et précis. Le soir, c’est Angie qui prend le relais en cuisine, aidé de Cosette. Malgré son jeune âge, Angie est un cuisinier hors pair qui a un don inné pour marier les différentes saveurs, mélanger avec harmonie les épices et réaliser des plats délicats et subtils d’univers tout à fait différents. Ses plats « signature » chipent une douceur à la cuisine créole, un parfum à la cuisine caribéenne, une odeur à la cuisine d’Afrique du Nord, une note à la cuisine asiatique…..On aime le poisson vinc blanc-poireaux, le poulet miel-gingembre, le colombo de porc à la goyave ou encore la tajine kefta ou le chillo chinola. Là encore, les plats dépendent de sa fantaisie et de l’arrivage.

Ajoutez à tout cela un décor mignon comme tout dans sa simplicité, un vaste palapa au sol de gravier et une belle terrasse aux meubles en bois blond aux coussins moelleux et en fer forgé très tendance. On parie…….Al Pasito n’a pas fini de faire parler de lui et c’est tout le mal que je lui souhaite.