Nichée au cœur de la « zone coloniale », cette toute nouvelle pimpante boutique nous raconte une belle histoire, l’histoire de la griffe L’été indien by AC….
Née du génie créatif de deux jeunes femmes passionnées et passionnantes, Armelle et Celine, cette audacieuse marque qui fait vibrer le cœur des amoureuses de beau et d’authentique fait la part belle à des vêtements singuliers, confectionnes à la main en Inde à partir de saris de soie ou crêpe de soie recycles. Les pièces, délicieuses et uniques, kimonos, robes, longues jupes fluides, tuniques vaporeuses, chemisiers tout doux, pantalons confort ou encore paréos se déclinent, élégantes, pratiques et durables, alliant style moderne et conscience écologique. Les inspirations mêlant la richesse des traditions textiles indiennes à une conscience écologique moderne confèrent à chaque création une histoire et une âme particulières.
Sabou, petite sœur de la boutique parisienne L’été indien by AC est née de l’amour d’une des deux créatrices, Celine pour notre petit village Un grand merci à elle et Sabine pour leur audace. N’hésitez pas à pousser la porte de leur jolie boutique, vous y découvrirez une foultitude de petites merveilles, à porter sans modération sous la chaleur moite de notre soleil … c’est absolument délicieux.
On y est, c’est parti pour 6 mois, le 1er juin marque dans l’Atlantique Nord, le début de la saison cyclonique; elle prendra fin le 30 novembre. Les risques de perturbations majeures étant généralement optimales en septembre. Mais attention, saison cyclonique ne veut pas dire mauvais temps, durant toute la période, le temps est en général chaud et majoritairement beau et ensoleillé, ce qui réchauffe la mer et favorise la venue des satanés ouragans.
Mais pour bien tout comprendre, lisez donc la suite!
Petite piqûre de rappel : comment se forme un cyclone ?
Tout d’abord, il ne se crée pas à partir de rien, mais à partir d’une zone perturbée : un amas nuageux ou une ligne de grains ou encore une onde tropicale, qui est dans le jargon spécialisé, une perturbation tropicale. Les perturbations qui nous concernent prennent le plus souvent naissance au large du Cap Vert mais, elles peuvent aussi naître très près de nous et se développer rapidement.
Autre condition, celle qui assure le » carburant » du système, élément nécessaire pour maintenir ou développer une zone perturbée. Ce carburant, c’est l’eau chaude, l’océan devant avoir une température d’au moins 26°, certains disent même 26,5 degrés Centigrades, sur au moins 50 mètres de profondeur. L’évaporation de surface de grandes quantités d’eau fournira l’énergie nécessaire pour entretenir le système de machine à vapeur qu’est une formation cyclonique. Si l’eau est trop froide, le cyclone ne peut pas se former ou, s’il était déjà formé préalablement, il s’affaiblit puis finit par perdre ses caractéristiques cycloniques.
Autre élément : les vents doivent être relativement homogènes de la surface jusqu’aux sommets nuageux, au-delà de 12 à 15 km d’altitude. Sur toute cette épaisseur, le profil de vent doit en effet être régulier, c’est-à-dire avoir la même direction et la même force ou presque. Lorsque cette condition est réalisée, la partie active de la perturbation reste concentrée et un renforcement du système peut s’effectuer. Sinon, l’énergie développée par le système va se disperser et le système a tendance à se » cisailler « . C’est le cas par exemple quand on rencontre des vents d’Est dans les premiers niveaux, alors que des vents d’Ouest ou de Nord sont observés plus haut. Le déplacement du système va se trouver contrarié, et il aura tendance à se désorganiser.
Enfin, il y a une condition absolument nécessaire, qui est en réalité une nécessité mécanique, physique primordiale. Les courants d’air ascendants au cœur du système vont abaisser la pression atmosphérique en surface, mais il n’y aura de dépression pouvant se creuser que si on n’est pas trop près de l’équateur. En effet, sur les régions équatoriales, conséquence de la rotation de la Terre sur elle-même, le tourbillon ne peut se créer car la force de pression agit pour combler immédiatement toute velléité de creusement dépressionnaire. Ainsi, un cyclone ne peut se former que s’il se situe à plus de 6 ou 7° de latitude. C’est cette condition qui empêche aux cyclones de se développer ou de se diriger vers la Guyane ou le nord du Brésil, pour ne parler que des régions proches des Antilles : ce sont des zones trop proches de l’Equateur !
Toutes ces conditions sont donc nécessaires à la formation et au développement d’un cyclone tropical. Si l’une au moins de ces conditions n’est pas remplie, le cyclone ne peut se former. Si un cyclone était formé et qu’une de ces conditions disparaît, il s’affaiblira et pourra se désagréger au bout de quelques heures : voyage au-dessus d’eaux trop froides ; parcours sur de larges étendues terrestres (s’ils rentrent, on dit atterrissent, sur des continents, sur le Mexique ou les Etats-Unis par exemple, ils peuvent mourir, se dissiper, dans les 24 heures) ; profil de vent dit cisaillé ; trajectoire trop proche de l’équateur.
Le cyclone dans tous ses états
On les appelle ouragans, cyclones ou typhons, ces trois termes désignent tous un seul et même phénomène que l’on appréhende et que l’on surveille de très près lorsque l’on vit sous nos latitudes. Les cyclones tropicaux se caractérisent par des vents soutenus d’une vitesse maximale d’au moins 120 km/h près du centre.
En fonction de la vitesse maximale du vent soutenu, on distingue trois classes de perturbations tropicales:
Dépression tropicale quand la vitesse est inférieure à 63 km/h;
Tempête tropicale quand cette vitesse se situe entre 63 et 118 km/h; c’est à ce stade qu’on baptise le phénomène;
Cyclone ou ouragan quand cette vitesse dépasse 119 km/h.
Les cyclones tropicaux peuvent s’étendre sur des centaines de kilomètres et s’accompagner de vents destructeurs, de pluies torrentielles et d’ondes de tempête, voire parfois de tornades. L’échelle Saffir-Simpson classe les ouragans en cinq catégories selon leur force. Voici les vitesses maximales des vents soutenus correspondant à ces catégories:
Ouragan de catégorie 1 – les vents soufflent entre 119 et 153 km/h;
Ouragan de catégorie 2 – les vents soufflent entre 154 et 177 km/h;
Ouragan de catégorie 3 – les vents soufflent entre 178 et 209 km/h;
Ouragan de catégorie 4 – les vents soufflent entre 210 et 249 km/h;
Ouragan de catégorie 5 – les vents soufflent à plus de 249 km/h.
Comment baptise-t-on les cyclones tropicaux?
La durée de vie des cyclones tropicaux atteint une semaine voire plus, si bien qu’il est possible que deux cyclones tropicaux se produisent simultanément. Pour éviter toute confusion, les prévisionnistes baptisent donc chacun des cyclones tropicaux à partir de listes annuelles où alternent prénoms féminins et prénoms masculins classés par ordre alphabétique. Ainsi, en 2024, nous ferons peut-être la connaissance de Andre.Barry.Chantal.Dexter.Erin.Fernand.Gabrielle.Humberto.Imelda.Jerry.Karen.Lorenzo.Melissa.Nestor.Olga.Pablo.Rebekah.Sebastien.Tanya.Van.Wendy
Comment prévoit-on les cyclones tropicaux?
Partout dans le monde, des météorologistes font appel à la technologie moderne (satellites, radars ou ordinateurs) pour suivre l’évolution des cyclones tropicaux. Ces phénomènes sont souvent difficiles à prévoir, car ils peuvent brusquement perdre de leur intensité ou incurver leur trajectoire. Les météorologistes disposent cependant de technologies à la pointe du progrès pour prévoir comment un cyclone tropical évoluera, y compris dans son déplacement et ses variations d’intensité, ou encore quand, à quel endroit et à quelle vitesse se produira son atterrage. Les Services météorologiques des pays exposés sont ainsi en mesure de publier des messages d’alerte officiels et, grâce à la coopération et à la coordination à l’échelle internationale, la surveillance des cyclones tropicaux, dès les premiers stades de leur formation, ne cesse de s’améliorer.
Prévisions 2024
A l’instar des évènements de l’année passée, la saison cyclonique 2025 devrait être marquée par une activité supérieure à la moyenne sur l’Atlantique-Nord. La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) prévoit entre 3 et 5 ouragans majeurs. L’absence de conditions de type El Nino sur le Pacifique, des températures élevées à la surface de l’océan et une forte mousson africaine seront déterminants
Dans un communiqué publié il y a quelques jours, la NOAA prévoit cette année entre 13 et 19 tempêtes tropicales (vents entre 63 et 118 km/h) sur l’Atlantique équatorial. 6 à 10 d’entre-elles pourront évoluer sous la forme d’ouragans (plus de 118 km/h), dont 3 à 5 sous forme majeure (plus de 178 km/h), c’est-à-dire de catégorie 3, 4 ou 5 sur l’échelle de Saffir-Simpson.
La formation d’un grand nombre de systèmes cycloniques n’est pas forcément synonyme de plus de catastrophes. En effet, pour parler de catastrophes, il faut qu’un phénomène provoque des dégâts matériels ou humains. Les trajectoires de ces systèmes cycloniques ne seront pas forcément dirigées vers des zones habitées, il faut donc attendre les prévisions de ces systèmes et suivre leur évolution tout au long de cette saison 2024.
En aparté, je vous donne mon truc pour contrer les cyclones, chaque jour en période cyclonique, je me connecte à l’un de ces sites et si un cyclone pointe le bout de son nez, je le regarde droit dans les yeux et ne le lâche plus jusqu’à ce qu’il disparaisse de l’écran. Juré, ça marche!
Enfin, le beau temps est revenu et le soleil n’en peut plus de se pavaner dans son ciel tout bleu. Vous êtes nombreux, cette saison à profiter de notre petit village et de ses sublimes plages, Coson, Bonita, Ballenas, Popy, toutes plus délicieuses les unes que les autres.
Mais, si l’envie vous prenait de découvrir d’autres pépites, plus fantastiques encore, plus sauvages, plus surprenantes… J’ai ce qu’il vous faut. Bientôt, playa Hermitanio, Jackson, Moron, Onda… n’auront plus de secrets pour vous. Elles ont en commun un charme absolu, un sable si fin et une eau transparente, presque un rêve que vous pouvez toucher du doigt. Difficile d’accès par la route, voire impossible, elles s’offrent à vous de la plus belle des manières, par la voie maritime.
Francis, c’est un des pêcheurs qui a eu la divine idée d’ouvrir une poissonnerie rive gauche, à Las Ballenas, juste en face du retour de la pêche, là où dodelinent langoureusement les barques colorées. Dans son échoppe, poissons, crevettes de Sanchez, mais aussi langoustes vivantes et autres crustacés selon l’arrivage. Et depuis peu, une autre proposition, ludique et tellement attendue, une balade en mer, à la découverte de plages mythiques, belles et préservées, mais aussi une initiation à la pêche, au snorkeling …. avec grillade sur la plage, en famille ou entre amis. Les escapades en mer sont à la carte pour le plus grand plaisir des vacanciers. Francis possède quatre bateaux, de la barque typique au bateau confortable pouvant transporter 28 personnes. Découvrir notre merveilleux littoral de la mer est une aventure extraordinaire à surtout ne pas manquer. Mais attention, danger, vous risquez juste d’en être encore un peu plus amoureux…
N’hésitez pas à passer à la poissonnerie ou à téléphoner à Francis pour plus de détails. Soyez audacieux, osez une merveilleuse balade en mer en toute sécurité pour un moment-bonheur, hors du temps.
En vrac quelques images de sublimes plages à découvrir et de bouilles heureuses de cet instant entre parenthèses.
Mine de rien, Las Terrenas est devenu le refuge de quelques artistes de qualité, musiciens, photographes, peintres qui puisent leur inspiration dans les merveilleux paysages qui nous entourent et dans l’atmosphère si particulière du village.
Parmi eux, Charlie Simon, a su se faire sa petite place parmi l’élite des peintres dominicains. Pour preuve, s’il en fallait, son inscription au très select CODAP (College Dominicain d’Art) filiale de l’Unesco. Son atelier-galerie ouvert à tous, se situe au Paseo, à côté de la Cave à vins. C’est avec beaucoup de gentillesse qu’il nous y accueille et nous guide à travers son oeuvre très hétéroclite qui oscille,sans jamais choisir, entre naif, pointillisme, impressionnisme. Sa peinture-fusion comme il se plait à la qualifier est inspirée par son vécu, mais, phénomène de pure création et résultat de l’imagination d’un artiste sensible, ses toiles sont remplies d’une forte dose d’émotion. Son travail instinctif qui confère un caractere ingénu aux oeuvres , s’articule autours du glamour de ses exquis visages de femme et d’un impressionnisme étonnamment juste et délicat. Charlie, érudit et intarissable en matiere d’art, voue une passion à Picasso, génial « touche a tous » , innovateur insatiable, à l’aise dans tous les courants picturaux. Un peu lui donc. S’il en a fait son « modèle », il apprécie également l’art poétique de Chagall et la folie de Jean Dubuffet.
En passant devant « la galerie de Charlie Simon », un amateur éclairé, est tombé en amour devant la diversité et la qualité de ce qu’il voyait. Sans hésiter, mû par un instinct très sûr, ce sont 25 toiles qu’il a sélectionné pour intégrer sa propre galerie en Autriche. Charlie n’est pas peu fier, il faut dire qu’à ce jour, alors qu’il vit confortablement de son Art, ce sont pres de 1000 toiles signées de l’artiste qui se baladent dans le monde entier. Ce fut une agréable et enrichissante rencontre avec un homme cultivé, amoureux de son métier, sincere et tres attaché à son village d’adoption, Las Terrenas. Mais ne vous y trompez pas, si vous lui demandez s’il se sent plus haitien par ses ancêtres ou dominicain par sa naissance, il vous répondra « je suis un homme de l’île et c’est tout ».
En ce debut d’annee 2025, la galerie de Charlie regorge de toiles eblouissantes de couleurs inspirees de ses coups d’coeur, ses rencontres artistiques et toujours la luxuriante nature qui l’entoure.
Janvier, c’est la saison câline des mots gentils et des billets doux. L’irrésistible désir de futurs soyeux, sages ou cocasses, de bouilles de gamins barbouillées de confiture, de mamies rayonnantes, de richesse rêvée et de sante optimisée.
Cahincaha, ma vie, amputée de lui, se déroule sans trop de secousses, langoureusement, voluptueusement solitaire. Ma vie, mes 3 amours de chiens, de captivantes lectures, des films oubliés, l’entretien du château de feuilles avec ses 20 années de bobos en tout genre. Ecrire aussi, de jolis mots partagés avec vous mes lecteurs, mes amis. Plus rares depuis que le capteur d’image s’en est allé, sans elles, ces belles images chipées avec tendresse, les mots n’ont plus la même saveur.
Pourtant, si résolution de nouvelle année il doit y avoir, ce sera de vous raconter à nouveau, en long, en large ce village qui, chahuté, bousculé, défiguré, parfois n’en demeure pas moins un endroit paisible ou il fait bon vivre.
Du fond de ma solitude si chèrement adorée, je vous souhaite une merveilleuse année 2025, douce, riche et caline.
Porfirio Rubirosa, né le 22 janvier 1909 à San Francisco de Macorís, en République dominicaine, reste dans les mémoires comme un playboy emblématique et une figure controversée du XXe siècle. Sa vie a été marquée par sa proximité avec le régime dictatorial de Rafael Trujillo, où il a exercé les fonctions de diplomate, années durant lesquelles on lui attribue des liens avec de sombres activités politiques, notamment des rumeurs de participation à des meurtres.
Vie et carrière
Formation et petite enfance
Rubirosa a grandi dans un environnement privilégié grâce à son père, un militaire devenu diplomate. Il passe une partie de sa jeunesse à Paris, où il développe un goût pour la vie nocturne et les sports équestres. Bien qu’il ait commencé des études de droit, il a quitté l’université pour rejoindre l’armée dominicaine.
Relations avec Trujillo
Porfirio Rubirosa entretenait une relation complexe et multiforme avec Rafael Trujillo, le dictateur de la République dominicaine. Leur lien a commencé en 1931, lorsque Rubirosa a rencontré Trujillo dans un country club et est rapidement devenu membre de son cercle proche. En 1932, Rubirosa épouse Flor de Oro Trujillo, la fille du dictateur, ce qui consolide sa position au sein du régime.
Tout au long de sa vie, Rubirosa a été un diplomate fidèle au régime de Trujillo, servant dans des ambassades dans diverses villes comme Berlin, Paris et Buenos Aires. Sa capacité à interagir avec des personnalités influentes et son attrait personnel ont fait de lui un atout précieux pour le dictateur, qui l’a décrit comme « bon dans son travail » en raison de son charisme et de sa capacité à impressionner les femmes. Malgré ses amours et sa renommée de playboy, Trujillo le protégea même après son divorce avec Flor de Oro, ce qui était inhabituel pour quelqu’un en disgrâce.
Rubirosa a été témoin d’événements importants au cours de son séjour à l’étranger, notamment la Seconde Guerre mondiale et la révolution cubaine. Considéré comme un « gigolo » pour ses nombreuses relations avec des femmes riches et célèbres comme Marylin Monroe ou Ava Gardner, il a également joué un rôle d’espion informel pour le régime de Trujillo. Après l’assassinat de Trujillo en 1961, Rubirosa tenta de maintenir son influence en soutenant Ramfis Trujillo comme son successeur, mais sa carrière politique s’est rapidement évanouie après la chute du dictateur.
Mode de vie
Rubirosa était connu pour son style de vie hédoniste : joueur de polo, pilote de voiture et d’avion, il aimait les fêtes extravagantes et entretenait une image de séducteur inégalé. Sa renommée s’étendait au-delà de ses conquêtes amoureuses ; On lui attribuait des qualités physiques exceptionnelles qui alimentèrent sa légende.
Paris
La vie de Porfirio Rubirosa à Paris a eu un impact significatif sur sa formation personnelle et professionnelle, façonnant son caractère et ses aptitudes sociales.
Rubirosa a passé une partie de son enfance et de son adolescence à Paris en raison de la carrière diplomatique de son père, envoyé à l’ambassade dominicaine de la ville. Cet environnement lui permet d’interagir avec la haute société européenne, où il commence à développer sa personnalité raffinée et bohème. Les rencontres avec des jeunes de l’élite parisienne lui apprennent l’art de la séduction et lui offrent l’occasion de nouer de précieuses relations.
Apprentissage des compétences sociales
Lors des fêtes et des événements sociaux, Rubirosa rivalisait pour attirer l’attention des jeunes femmes, ce qui lui permettait de perfectionner ses talents de séducteur. Son charisme et son charme personnel sont devenus des outils clés qu’il a utilisés tout au long de sa vie pour interagir avec des femmes influentes et riches. Cet apprentissage à Paris a contribué à consolider sa réputation de conquérant légendaire.
Passions développées
Durant son séjour en France, Rubirosa devient également un passionné de polo, un sport qu’il pratique avec ferveur et qui devient une part importante de son identité. Par ailleurs, il commence à s’intéresser à la course automobile, qui deviendra plus tard une facette marquante de sa vie de pilote.
Style de vie glamour
La vie parisienne lui permet d’adopter un style de vie luxueux et glamour, de s’entourer de personnes influentes et de profiter des plaisirs qu’offre la ville. Ce style se reflétait dans ses mariages avec des femmes riches, comme Doris Duke, Barbara Hutton, Daniele Darrieux qui contribuèrent à maintenir son image publique de playboy.
La mort
Le 5 juillet 1965, Rubirosa meurt dans un accident de voiture à Paris lorsque sa Ferrari s’écrase contre un arbre après une nuit de fête. Il avait 56 ans et avait remporté le même soir la Coupe de France de Polo126. Sa mort a fait l’objet de spéculations, notamment d’hypothèses sur un possible meurtre ou suicide, bien que celles-ci n’aient pas été confirmée2.
Héritage
La figure de Porfirio Rubirosa est restée un symbole du glamour et de la décadence du XXe siècle. Sa vie a inspiré des livres et des films, soulignant son influence sur la culture populaire, notamment comme source d’inspiration possible pour le personnage de James Bond créé par Ian Fleming. Malgré les controverses qui ont entouré sa vie, Rubirosa reste dans les mémoires comme l’un des derniers grands playboys du monde.
J’avoue, j’ai mis du temps à localiser cette jolie boutique entièrement dédiée à nos amis à quatre pattes. Bon, faut dire que niveau orientation, je suis tout sauf douée. Puis, hier, à force de réflexion et de persévérance, bingo, je l’ai enfin trouvée. Très simple en fait, il suffit de suivre les indications portées sur le muret juste avant le chemin. Et puis, gourmandes et gourmets du village connaissent tous l’adresse du délicieux Mocca’s Brunch Bar situé juste à côté de notre woof woof shop.
Woof woof pet shop
Un grand parking, bien pratique et face à nous, une très jolie boutique, vaste et lumineuse. Le nouvel endroit où l’on va aimer se balader, histoire de dénicher le petit accessoire, le moelleux coussin ou le plaid tout doux, le joujou tendance, l’arbre à chat ou le fier collier, le shampooing qui va bien, la brosse à tous poils, la lotion miracle, ou encore la croquette idéale. Parlons-en des croquettes. Elles sont souvent à la source des petits problèmes de santé de nos animaux. Trop grasses, trop riches, trop pauvres… Woof woof shop vous propose une gamme de croquettes de très grande qualité, spécialement élaborées pour répondre au besoin de chaque cas. Diabète, dérèglement hépatique, problèmes urinaires ou rénaux… vous trouverez ici la croquette idéale pour soulager votre chien ou votre chat. Au besoin, Marcella, la maîtresse des lieux, vous la commandera. Cerise sur le gâteau, pour toutous gourmets, des petits plats mijotés surgelés, à base de produits frais et même, pour les becs sucrés des glaces aux parfums toutouesques…
Tout est harmonieux dans cet endroit apaisant, univers entièrement dédié à nos amis les plus chers.
Marcella et Jean Lucas
C’est la délicieuse Marcella qui nous accueille. Italienne d’origine, elle a posé ses bagages à LT, avec Jean Lucas, son compagnon, il y a 3 ans déjà. Amoureuse inconditionnelle de toutous depuis toujours, c’est lors de son premier voyage au village, alors qu’elle fut dans l’incapacité d’emmener ses protégés pour cette absence expresse, que le déclic se produisit. Installés à Las Terrenas, Jean Lucas et Marcella s’empressèrent de créer une petite structure d’accueil pour permettre aux maîtres de partir en toute tranquillité en confiant leur animal à deux personnes de cœur, super responsables. Les chiens en vacances, 6 au maximum, après avoir fait connaissance avec les maîtres des lieux, vivent à leur domicile dans de petites casitas très cocooning.
Toilettage
Woof woof Pet shop c’est aussi un service de toilettage au top, réalisé par une professionnelle aguerrie qui saura prendre soin du pelage de votre ami à quatre pattes, eliminer les noeuds disgracieux et reveler sa sublime beaute. Soins personnalisés et toujours impeccables à des prix tout doux.
Pour le plaisir et pour le bonheur de votre compagnon 4 patounes, venez vite découvrir cet endroit tant attendu à Las Terrenas.
Puente de Abundio , Las Terrenas, Dominican Republic . 809 293-7190
Née, il y a une douzaine d’années, de la délicieuse et douce folie de Thierry, personnage haut en couleurs, la Vela Blanca change de capitaine mais garde son cap.
Certificat d’excellence de Tripadvisor »… et bien vous savez quoi, c’est bien mérité.
Tout le monde connait ce petit resto-bar niché sur la plage de Las Ballenas. Un endroit charmant, des tables blanches toutes pimpantes, des chaises longues confortables pour rêvasser des heures face à l’océan, un exquis petit kiosque joli comme un coeur, un superbe terrain de pétanque, un cadre splendide. Et, Daniel, un tout nouveau patron attentionné et aux petits soins pour ces passionnés qui viennent chaque jour jouer à la pétanque, à la belotte, déjeuner, simplement boire un coup entre potes et en profiter pour refaire le monde, jouer à la star au son d’un karaoke bon enfant, ou encore siroter un cocktail alors que le soleil épouse la mer à l’horizon, dans une symphonie de couleurs irréelles
Et les gourmets… et bien les gourmets ne sont jamais decus.
Histoire de profiter d’une belle journée de soleil entre deux déluges, nous y sommes allés hier avec deux amis pour un déjeuner-bonheur les pieds dans l’eau et le cheveu au vent C’est gouteux, délicat, agréablement présenté. Mis à part les poissons très frais ou les crustacés tout juste sortis de l’eau, les grands classiques s’invitent à votre table, filet de poulet savoureux, filet mignon de porc, salade Cesar, couscous parfois ou autres suggestions selon le marché, la marée ou l’humeur des deux charmantes cuisinières. J’ai pour ma part deguste le meilleur poisson frit du village.
Daniel le nouveau boss ne s’est pas trompé. Tombé en amour pour LT et surtout pour ce lieu envoûtant, il a réglé ses affaires en France et en deux temps, trois mouvements, a fait ses valises et est revenu dare-dare. J’ai senti un homme heureux, charmé et encore tout étonné de ce si grand plaisir de se retrouver chaque jour dans ce décor idyllique tourné vers l’océan, comme un avant-goût du paradis. Très inspiré par la belle nature environnante et sans doute le bruit apaisant des vagues, il est bien décidé à conserver au lieu son esprit à la fois décontracté, un brin bohême et élégant et à faire de la Vela Blanca « the place to be » à toute heure et pour toutes les occasions.
La Vela Blanca vous accueille chaque jour de 10h à pas d’heure.
Et c’est bien là, à mon sens le vrai problème d’un toit de cana. Pour remplir son rôle à la perfection et rester seyant, il a besoin d’être renouvelé régulièrement, disons tous les 4, 5 ou 6 ans selon qu’il a été plus ou moins décoiffé par les vents chahuteurs de tempêtes ou autre cyclone, plus ou moins arrosé par les grosses pluies tropicales ou brûlé par le soleil omniprésent.
Le travail de réfection est très technique et plutôt laborieux. D’abord, calculer le besoin en cana, ca se calcule en caballos et la commander. Elle arrive en camions gigantesques de la région de Santiago. Une fois sur place, il faut la « nettoyer » et la clouer. Puis, le toit est découvert, adieu vieille cana, mais aussi vieilles petites ou grosses poutres de bois, bien souvent grignotées, voire dévorées par les termites.
Une fois la structure propre et nette, les morceaux de charpente changés, commence le travail de fixation de la nouvelle, toute belle cana. Pour vous donner une idée, le toit de ma grande maison qui mesure plus de 500 m2 a nécessité près de deux semaines. Mon bungalow sera terminé, tout neuf et pimpant en 4 jours, évacuation de la vieille cana incluse. Tout ceci avec une équipe réduite de 3 techniciens et 2 aides pour la « basura ».
Depuis 20 ans, je travaillais avec la même personne que tout le monde connait ici. Un personnage haut en couleurs, bruyant mais maestro accompli quoique totalement désorganisé et souvent insupportable. Son travail: plutot bien. Sauf en ce qui concerne sa dernière intervention sur le toit de la grande maison du château de feuilles. Malgré sa dizaine d’employés, et vu qu’il manquait toujours un clou ou un marteau ou un bout de membrane ou un palot ou de la cana… ou que personne n’etait la, le travail a duré une éternité. A l’arrivée, une addition beaucoup plus salée que prévue, beaucoup plus. Puis, l’oubli pur et simple de payer mon jardinier qui, en toute innocence était venu lui donner un sérieux coup de main pour le tri et l’évacuation de tous les innombrables camions de déchets. Mais pas que…. Quelques jours après la fin du chantier, grosse pluie et grosse infiltration d’eau dans la maison. Bien sûr, je l’appelle. Il arrive dare-dare avec un muchacho, grimpe sur le toit, émet quelques borborygmes (je n’ai jamais réussi à comprendre son langage), redescend, sourire aux lèvres… ca y est c’est bon. Sauf que, 3 jours après, rebelotte, pluie, salon inondé… un peu plus énervée je le rappelle, il arrive tout sourire avec le même muchacho, regrimpe sur le toit, re-émet les mêmes borborygmes, ou d’autres, allez savoir, repart, laisse le muchacho en l’air qui s’en va un peu plus tard en me disant ca y c’est bon… sauf que…. Et oui. Du coup, j’ai demandé à un de mes jardiniers qui en l’occurrence travaille avec ce maestro depuis de longues années de monter voir ce qu’il en pensait. Vérification faite, il s’est rendu compte que la membrane chargée de protéger les arrêtes du toit était trouée à plein d’endroits. Ferreteria, achat d’un rouleau de membrane, Julian remonte sur le toit, répare tous les dégâts… Ca y est c’est bon…. Et cette fois, c’est vrai, plus une goutte d’eau alors que Dieu sait qu’il en est tombé cette année.
Du coup, au moment de changer les plumes de mon bungalow, il s’est proposé pour réaliser le travail en maestro, avec sa propre équipe prête et réservée. Un devis clair et précis. Rendez-vous lundi matin et là, sinistre surprise… l’ancien maestro mauvais joueur, averti de mon désengagement avec lui s’est empresse de contacter tous les muchachos de la cana pour qu’aucun ne travaille avec Julian. Pas cool. Un jour de perdu. Par chance, Julian a pu compter sur le secours de deux muchachos de Limon. Nous sommes jeudi, il est 15h30 et le travail est terminé, sans prise de tête, sans manque de clous, de marteaux de palots, de canas. Le jardin est en ordre et les décombres soigneusement rassemblés sont prêts à être évacués. Meme les chiens ont ete sereins.
Mon petit bungalow tout mignon est à croquer, il frétille de joie avec sa nouvelle coiffure, … et moi aussi.
Si vous avez besoin d’une intervention sur votre toit de cana, voici les coordonnés d’un maestro sympathique, sérieux et très pro, qui gagne à être connu. Julian 849 720 3817
Aujourd’hui, il y a deux ans déjà, tu vivais ta dernière journée sur terre, même pas près de moi. Comme je me le suis reproché, tu étais seul et moi incapable de te rejoindre… pardon mon cœur pour ce lâche manquement. Mais comment faire avec cette tribu de chiens ingérables… J’ose juste espérer que là où tu es, tu m’as pardonné. Dieu sait que tu les aimais nos bb à quatre pattes et que jamais tu n’aurais supporté que je les laisse seuls des jours et des nuits.
Et le lendemain quand je suis arrivée à la clinique, j’ai cru mourir moi aussi. Personne ne m’avait prévenu que déjà tu t’étais envolé vers d’autres cieux. La révélation fut brutale, cruelle…Mais non, c’est pas possible, je venais pour le récupérer, le conduire dans son château de feuilles pour le câliner, le chouchouter, le couvrir de bisous et des léchous de ses toutous, non c’est pas possible.
Les minutes qui s’ensuivirent furent lancinantes, douloureuses. L’unique lueur positive dans cette journée noire fut la présence d’un être dévoué qui m’a pris dans ses bras, qui m’a pris par la main et, juste par gentillesse s’est occupé de tout. Merci Nano, je n’oublierai jamais le réconfort de ta présence à mes côtés.
Puis, ce fut le triste retour à la réalité, ton fauteuil vide à jamais, ton écharpe blanche sur le dossier de ton tabouret de bar préféré, la venue de tes enfants qui ont tenté de me faire croire que c’était mieux, que le moment était venu…. L’insupportable instant où nous avons dispersé tes cendres dans l’océan face au Syroz…
Et pourtant, le temps passe si vite. Deux ans déjà. Je ne les ai pas vu passer. Ton dressing est toujours complet, ton écharpe toujours sur le dossier de ton tabouret préféré et ton lit bien bordé. C’est drôle, c’est Léa que tu ne connais pas qui y a trouvé refuge. Zoé nous a quitté l’an dernier et Cheyenne il y a quelques semaines. Dis-moi, tu les as vues dans le ciel. Et Tatoo, ton petit cœur, j’espère que tu l’as retrouvé. Trop bien de vous imaginer tous les deux, complices comme avant.
Parfois, quand nous sommes au jardin, Léo, Bamboo, Léa et moi, nous voyons une somptueuse frégate voler au-dessus de nos têtes. Je sais que c’est toi alors nous t’envoyons plein de baisers…