La Siesta, exquise escapade romantique à Las Galeras.

Las Galeras, c’est le bout du bout du monde. La toute fin de la péninsule de Samana. La route s’arrête là et se jette dans l’océan. Las Galeras, c’est un petit village typique, tranquille, doux. On y rencontre peu de résidents européens et ceux qui ont choisi d’y vivre, se mêlent avec bonheur aux habitants du village, partagent des moments conviviaux, s’interpellent sur le coin d’un trottoir, rigolent sur le pas d’une échoppe.

Et, c’est dans ce petit village encore préservé que Charlotte et Thierry ont décidé d’ouvrir, il y a quelques semaines, une maison d’hôte peu ordinaire. Au sein d’un grand jardin tropical, niché sur une petite loma, 3 coquettes maisons. Une leur est réservée et les deux autres, casa Zanni et casa Macha, composées d’un confortable salon, d’une chambre douillette avec salle de bain et d’une cuisine toute équipée sur la vaste terrasse sont proposées à la location. L’idée, proposer aux heureux locataires le choix de passer des vacances en toute intimité dans un cadre paradisiaque ou de partager des moments trop sympas avec leurs hôtes. Petit déjeuner ou pas, table d’hôte ou pas en soirée, apéro autours d’un romantique brasero. Tout est proposé, rien n’est imposé.

La Siesta, tel est son nom, possède un atout très prisé des vacanciers. La petite loma qui l’accueille est le point de départ de charmants sentiers de randonnées se déroulant parmi une végétation luxuriante jusqu’à la mer. La superbe Playa Madame se trouve ainsi à 30 minutes de marche et Playa Fronton se découvre après 2h de balade des plus délicieuse. Un bateau est à la disposition des promeneurs pour les ramener à bon port après cette marche bucolique. A noter que tout près, à dix minutes, une autre belle plage les attend, playa Asserradero.

Charlotte qui a découvert la région en 2020 et Thierry quelques années plus tôt sont fans de cette belle péninsule. Leur envie de partager leur expérience et de savourer le ressenti de leurs hôtes en font indubitablement des guides privilégiés aux petits soins de leurs vacanciers.

La Siesta vous attend toute l’année pour des vacances différentes et enrichissantes pour une durée minimum de 3 jours. Elle propose en outre des week-ends découverte de 2 nuits, petit-déjeuner inclus.

Tentés, séduits, n’hésitez pas à contacter Charlotte ou Thierry pour des vacances d’exception dans l’un des derniers refuges encore préservé de la belle péninsule de Samana.

La Siesta .Camino del Faro , Samaná, Dominican Republic . Whats app +1 809-883-9665

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Huit jours plus tard… ouf… et ma p’tite famille dans tout cà…

Je ne vais pas en remettre une couche mais ouf que c’est bon le silence… il me semble que la semaine suivant la folie de la Semana Santa est la plus jouissive de l’année. Tout nous semble beau et serein… d’accord, au vu des méchants, voire haineux posts à mon encontre, force est de constater que 90% des résidents ou étrangers d’ailleurs, qui se mêlent de quoi ceux-là… adorent ce bordel sans nom et cette vulgarite latente. Pas moi ! Non pas tant la musique qui ne perdrait rien de sa festivité un poil moins fort mais cet incessant vroom vroom des quads et autres motos, mobylettes, buggys saturant de leurs moteurs insensés nos ruelles d’ordinaires si tranquilles. Je haie cette période et le clame haut et fort.

Ceci dit. Point final jusqu’à l’an prochain.

Tout un tas de bouleversements ont entaché ma vie ces dernières semaines avec notamment l’horrible tristesse de la perte de deux de mes chiens adorés à quelques jours d’intervalle et la découverte d’une maladie chez mon beau Léo… Du coup, comme d’habitude, pas vraiment le cœur à vous raconter de jolies histoires. Ca va mieux, en partie grâce à l’arrivée de la jolie Bamboo. Bamboo c’est un bb tout doux, tout sage, un amour de bb dont les cris et ceux de ses 10 frères et sœurs ont bercé mes jours durant un bon mois. Bamboo était ma voisine avant de devenir ma petite fille… Elle est juste le plus craquant des petits chiots que j’aie pu côtoyer. Donc, elle m’a remis du baume au cœur et je peux enfin vous raconter la fin de vacances de ma ptite famille, Mylène, Thomas, Elliot, Tess et petit Raoul.

Les vacances s’achèvent cette fois, non sans angoisse. Figurez-vous que petit Raoul, d’habitude collé à son papa Elliot est tombé amoureux de la délicieuse chienne de la voisine. Lisa, c’est son nom et, il faut dire que de mémoire de chien de coco, c’est la plus jolie petite chienne de coco du monde. En tout cas pour Raoul. Tout doucement, en catimini, le petit amoureux transi s’est échappé de la maison, s’est glissé délicatement à travers un trou, tout petit trou dans la haie mitoyenne et s’est jeté dans les bras de sa belle. Une belle histoire d’amour était sur le point d’éclore. Alors qu’une balade en kayak était programmée pour terminer ces vacances en point d’orgue, nos quatre amis sont partis à la recherche de leur petit trésor. Des heures durant, ils ont arpenté la plage à gauche, à droite, ils ont même demandé l’aide d’Alphonso, un gentil moto-concho… rien, pas l’ombre de Raoul. Puis soudain, alors que le moral était en berne et que les larmes emplissaient les yeux de nos amis, la gentille voisine est apparue sur le pas de leur jardin le long de la plage avec dans ses bras un petit Raoul pas vraiment repenti, mais quand meme vite inondé de bisous doux.

Voilà tout est bien qui finit bien. Je retrouve ceux qui sont devenus des amis pour un dernier brunch gargantuesque, histoire de papoter une dernière fois, curieuse de savoir ce que Las Terrenas a représenté pour eux.

Bien sûr, la beauté de ces plages quasi désertes et la douce chaleur de l’océan, ces milliers de cocotiers et cette végétation inouie emportent tous les suffrages. Mais pas que. Ils sont unanimement tombés sous le charme des habitants du village, séduits par leurs larges sourires et leur joie de vivre. Surpris que parmi cette population souvent démunie, personne ne mendie et assaille les touristes. Une belle lecon de vie. Bien sûr, ils garderont longtemps le souvenir du village, de ses échoppes brinquebalantes, de ses odeurs et de ses bruits multiples. De ses étals chargés de fruits et de légumes gorgés de soleil, de ses boutiques aux couleurs acidulés, de ses guaguas, de ses petits marchands de fruits, de paniers, de montres… jamais envahissants et toujours souriants. Mais plus que tout, c’est cette douceur de vivre en belle harmonie, tous ensemble, autochtones et gringos, jeunes et anciens qui les a profondément surpris. Rendez-vous est pris pour d’autres vacances, un autre sejour-bonheur. Trois semaines cette fois et à une autre période, histoire de se convaincre, si besoin est, que, ben oui, c’est ici le paradis.