Un dernier hommage à Paco sur la plage….

 

Parce qu’il aurait aimé qu’il en soit ainsi, Sarah a rouvert le Pacomer. Et, sur la table où Paco avait pour habitude de diriger son petit monde, entouré de ses coquilles, ses oursins, ses carapaces de crabes et autres objets aussi improbables qu’insolites, tous chers à son cœur, un petit être, malheureux comme une pierre refuse de quitter la place. Son petit chat. Depuis plusieurs années il partageait sa vie, choyé, dorloté, câliné par un Paco qui lui accordait toute sa tendresse. Petit chat est malheureux.

Un  dernier hommage, en toute simplicité, sera rendu à Paco par sa famille au Pacomer, dimanche prochain, 7 août à 15 heures. Une belle occasion de montrer à cette figure du village que nous l’aimons et qu’il restera gravé dans nos cœurs. Cantuta et ses enfants, Pirouli, Sarah, Diego et Sasha comptent sur votre présence pour un petit moment de recueillement et d’amitié.

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On est en plein dedans….

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…. mais jusqu’à présent, pas de bobo. Mais je veux parler de la saison cyclonique bien sûr. J’espère que vous avez suivi mes conseils et que, chaque jour, vous faites un petit tour sur les sites spécialisés pour voir l’état de ciel au-dessus de l’océan. En ce moment, deux ondes tropicales jouent à chat perché au-dessus de l’Atlantique. Pas vraiment turbulentes pour l’instant, la première risque cependant de mouiller nos amis guadeloupéens et martiniquais ce week-end, et nous en début de semaine si il lui prend l’envie de poursuivre son chemin. La seconde un tout petit peu plus rebelle, la suit de près, mais ne vous inquiétez pas, je garde un oeil sur elle. En attendant, profitez du soleil et du ciel bleu de Las Terrenas, la mer est délicieuse et le sable chaud si doux sous nos petons.

Adieu Paco

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Il faisait partie des « vieux » de Las Terrenas, un des tous premiers amoureux de notre petit village du bout du monde. C’est lui qui en créa le premier resto, « Chez Paco », vite rebaptisé par son pote Michel, arrivé tout droit de Rio, « Pacocabana ». Un personnage ce Paco, pas franchement jovial, un peu bougon, un peu renfermé, un brin original, franchement décalé. Mais nous l’aimions, je l’aimais comme il était avec son caractère de cochon et ses sempiternelles chamailleries avec Sarah qui fut son épouse et demeura son amie, son alliée. Je l’aimais lorsqu’en duo de frères ennemis, pour rire, il se prenait le bec avec Michel, alors qu’ils ne pouvaient se passer l’un de l’autre bien longtemps. Je l’aimais parce que comme moi, solitaire, il éprouvait une véritable délectation à se plonger dans la lecture, que nous nous échangions des livres et en parlions longuement. Parce que, grand enfant, il vouait une passion à Tintin et en connaissait par cœur toutes les aventures. Parce que c’était le seul homme que je connaisse aussi fan de la Musique Inca et sa flûte de pan….. Paco fut et restera une image de Las Terrenas, du Las Terrenas d’il y a 25 ans mais aussi du Las Terrenas d’aujourd’hui. C’est grâce à lui et à son intuition que la plage des Pêcheurs accueille aujourd’hui toute une ribambelle de petits lolos sympas, il en fut le précurseur avec son « Pacomer », les pieds dans le sable, de délicieux petits plats de poisson dans les assiettes.

Tu nous a quitté cette nuit, Paco, sans faire de bruit, je reconnais bien là ta discrétion et je te souhaite un beau voyage tout en quiétude dans l’au-delà. Et même bien loin, tu n’as pas fini de partager notre vie.

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À vaincre sans péril on triomphe sans gloire….

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Oui, enfin il ne me semble pas que c’est en détruisant tout sur son passage, provoquant la détresse et l’exaspération de milliers de personnes que quelques fanatiques, ivres de violence vont régler le problème de la luz à Las Terrenas. D’ailleurs n’est-ce pas ce qui s’est produit lors de la dernière tempête de folie qui s’est abattue sur la ville. Ils ont tout cassé, tout détruit, ils ont blessé, se sont tués…. Pourquoi ? Pour en arriver au même résultat quelques mois plus tard. Et le pire c’est qu’ils ne savent pas pourquoi et contre qui ils se battent ? Un mot fort déplacé (certes) du représentant de l’état ? La luz qui augmente (de 2 pesos…..) ? Contre la SIE ? Contre Luz y Fuerza ? Contre des compteurs qui tournent trop vite ? Mais contre qui ???? S’en foutent, l’important c’est de se battre, de montrer que l’on n’est pas des moutons. Peu importe le résultat d’ailleurs, « à vaincre sans péril on triomphe sans gloire » et peu importe aussi que ces hooligans de pacotille qui mènent le combat ne comprennent même pas le sens de cette phrase, eux ils savent, il faut du « sang ». Comme à chaque fois, ces meneurs, ces « hommes forts » ont été confortés dans leur vengeance (????) belliqueuse par quelques expats. enervés qui, très vite, se rendant compte du cataclysme de folie généré par quelques mots, se retrouvant privés d’eau, d’électricité, de téléphone…. revoient leur hargne à la baisse et changent de ton. Trop tard, la machine est lancée, Las Terrenas est défigurée, il n’y a plus d’électricité (énormément de poteaux et d’infrastructures ont été détruits cette nuit), plus d’eau, juste une immense tristesse dans le cœur de tous qui, comme moi, savent que cet immense merdier ne sert à rien.
Je n’ai pas pour habitude de dresser un tel portrait de ce beau village que j’aime profondément, mais là, je suis quand même dégoutée, dépassée par les événements. Je reste sans voix devant une telle bêtise largement partagée par les résidents étrangers surtout français qui ne se rendent pas compte, qu’ici une huelga comme ils disent n’est pas toujours gérable et prend vite d’autres proportions qu’en France.

Au départ une facture de juin incompréhensible, un tarif augmenté, une consommation parfois plus élevée, des charges fixes doublées (que de 200 pesos quand même), une réunion avec les nouveaux responsables (SIE) et le dérapage du responsable qui sans vergogne déclare que si les gens de Las Terrenas veulent payer l’électricité au même prix qu’à Sanchez, ils n’ont qu’à aller vivre à Sanchez….. Pas vraiment malin ! Il faut dire qu’à Sanchez ils payent leur luz aux alentours de 4 pesos et nous en en est à près de 15…. Oui mais, l’injustice a toujours existé non, il y a des beaux, des moches, des gros, des maigres, des riches, des pauvres….. Et moi, la seule chose qui me perturbe c’est qu’avant leur tout premier bordel, on avait une électricité fiable, 24h sur 24, on payait 21 pesos soit 6 pesos de plus qu’à l’heure actuelle, on avait un seul interlocuteur et non deux qui se renvoient la balle quand on n’est pas contents…. Ils ont cassé, tué pour obtenir cette réduction minable et ces incessantes coupures quotidiennes qui vont avec et ils recommencent…… Mais on dit aussi que la vie est un éternel recommencement……..

De retour à l’Eden…

« Un peu plus d’un an maintenant que l’Eden s’est métamorphosé en petit coin de paradis pour offrir à une clientèle fidèle, de plus en plus nombreuse, le summum du confort et de la bonne cuisine. Des chaises longues confortables, un salon lounge pour ne rien rater du coucher du soleil ou juste histoire de siroter en mode super confort un des nombreux cocktails de la maison. La grande ardoise des suggestions quant à elle, fait la part belle aux produits de la mer déclinés en succulents petits plats gourmands. Pierre, très attentif au bien-être de ses clients-amis qu’il ne se lasse pas de chouchouter, incarne la joie de vivre et apporte un petit supplément d’âme à un endroit déjà pourvu de toutes les qualités. Une belle idée, réclamée à cors et à cris par des gourmets amoureux du lieu, l’ouverture en soirée pour des dîners festifs les pieds dans l’eau. C’est pour tout bientôt! Et, cerise sur le gâteau, de temps en temps, au gré des humeurs du boss un après-midi disco-plage avec, s’il vous plaît un vrai DJ sous son parasol. Si ce n’est pas l’Eden ça!!!!! »
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Et ça, c’était presque pile poil il y a un an: …..

Et bien, ils en ont mis du temps les garcons pour se ressaisir. De longs mois, plus d’une année sûrement que cet endroit magique, sublime, merveilleux était à l’abandon, triste, désolé. Des locataires indélicats et ce fut la catastrophe. Mais ça y est, Pierre et Ricardo, les deux potes, boss de ce sublime resto de plage ont réglé leur problème et se consacrent, à plein temps à leur délicieux petit bijou. Car, oui, n’ayons pas peur des mots, l’Eden, sur la jolie plage de Las Ballenas est un véritable joyau. On y déjeune en toute décontraction, les pieds dans le sable doux à quelques mètres à peine d’une eau cristalline qui frôle, voire dépasse les 30 degrès. Maillot de bain et paréos sont de mise, histoire de se rafraîchir un brin en attendant notre commande. La carte déguisée en un grand tableau noir, fait la part belle aux produits de la mer, tout frais, carpaccios, ceviches, du chillo, du thon, de la daurade, selon les arrivages du jour, de beaux centollos, des langoustes, des coquillages, des crevettes…. nos papilles en frétillent de bonheur. Le service est au top, de jolies serveuses et Pierre qui se démène comme un beau diable pour satisfaire les moindres désirs d’une clientèle conquise d’avance.

P1010546 P1010543Larges parasols blancs comme le mobilier en bois, transats pour se reposer après ou avant le succulent repas et prolonger ces instants de plénitude et confortables sofas aux coussins moelleux pour admirer à l’heure de l’apéro, monsieur le soleil qui, chaque soir, a pris l’habitude de se coucher pile poil en face du resto.Sans titre-1

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C’est comme ça un 14 juillet à La Vela Blanca

Il faut dire qu’ils s’en sont donnés du mal, tout calculé, tout loué, tout organisé des jours , des semaines à l’avance, aucun détail laissé au hasard, il y aura des ballons bleu, blanc, rouge, des lampions, des nappes blanches sur les tables de la plage, de la musique, du bonheur…. et puis dans la journée, une pluie rebelle a fait son apparition. Non mais, si elle croyait gâcher la fête, elle s’est mise le doigt dans l’oeil la pluie. D’ailleurs elle l’a vite compris, le soir, le beau temps était revenu. Dernières préparations, répétitions. Ils sont prêts. Le concours de pétanque a été un franc succès, augurant ce que serait la suite…..Quand soudain l’horreur, une douleur profonde vient perturber la bonne humeur ambiante, on vient d’apprendre l’atroce carnage de Nice….Consternation, c’est notre pays qui est touché, et même loin, et même heureux de faire la fête on est anéantis. Saloperies de barbares. La Marseillaise chantée par Mireille Mathieu sera le bref hommage à tous ces pauvres gens. Mais ici ou ailleurs, la vie continue, un peu plus triste, un peu sombre, on rit mais on y pense. Malgré tout, des centaines de personnes ont assisté à cette belle soirée, la plus belle peut-être de Thierry et sa fidèle équipe. Patrick et son barbecue généreux, géant, sublime, a ravi les papilles des gourmands et gourmets, les notes  égrénées par le saxo ont réchauffé les coeurs mélancoliques et le feu d’artifice sur la plage a embrasé la foule. Merci Thierry, on t’aime.

Quelques belles images, chipées sur la page Facebook de La Vela Blanca, prises par le talentueux Antonio Millemaci.

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Le 14 juillet à La Vela Blanca, tôt ou tard vous y viendrez……

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Je me souviens d’années tumultueuses où la communauté française réclamait à cor et à cri un feu d’artifice pour le 14 juillet. C’était une question d’honneur et souvent la requête restait vaine. Et bien chers français de Las Terrenas, cette année, vous l’aurez votre feu d’artifice. Un beau, un grand, un sur la mer. Et, c’est La Vela Blanca qui vous l’offre.

Mais c’est pas tout, fidèle à sa réputation de plage dynamique, un brin franchouillarde, c’est tout un programme « spécial  Fête  Nationale » que la Vela Blanca vous a concocté. D’abord, si le coeur vous en dit et pour être dans le ton, un dress-code (ben oui quoi comment il faut s’habiller…. Rrroooo), vous l’aurez deviné, bleu – blanc – rouge.

 

A 20h, paella gigantesque de Fred du barrio. J’en sens déjà les effluves coquins me chatouiller les narines et vous ?  Et pour accompagner le repas, les incontournables Marlène et Vincent dans un concert préparé aux petits oignons puis.. . feu d’artifice sur la mer… reprise en choeur de la Marseillaise … et lancer de lanternes chinoises pour nous porter bonheur tout au long de l’année.

 

Si c’est pas un beau 14 juillet sous les Tropiques ça…… Cette année, il est prudent de réserver en téléphonant à la Vela Blanca  829 633 20 04 ou tout simplement en passant, histoire de vous mettre déjà dans l’ambiance.

Merci Thierry pour tout ça et plus encore. On t’aime. Enfin nous quoi Mimi et moi car nos chiens font déjà la gueule, ils aiment pas le feu d’artifice, comme tous leurs congénères d’ailleurs alors si vous avez des toutous chez vous, prenez soin de les enfermer ou ils risquent de se sauver…..

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En juin, la facture de luz s’envole…..

Comme beaucoup, voire tout le monde j’ai eu la désagréable surprise ce matin de voir ma facture de Luz passer de 5800 en mai à 8700 en juin. On est encore bien loin des tarifs de juin 2015 mais quand même….

Je prends contact avec Ennio, l’attaché de presse de Luz y Fuerza pur savoir ce qu’il en pense. Et voici ses explications.

D’abord et pour que ce soit définitivement clair, ce n’est plus Luz y Fuerza qui définit les tarifs mais la Superintendancia, responsable du nouveau réseau (de m…..). Hors, et ca fait des mois qu’on le sait, les barêmes ne sont pas fixes mais fluctuent d’un mois sur l’autre. C’est vrai que je les recois chaque mois sur mon mail, mais je n’ai jamais pris la peine de bien les regarder.

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En ce qui me concerne (je ne parlerai que de mon cas, ignorant les autres), le prix de base (BTS) du kw/h est passé de 12,97 à 14,42…. la taxe fixe est passée de 224,46 à 459,37 et, la consommation a elle aussi augmenté. Pourquoi? J’ai vérifié sur mes anciennes factures et, c’est vrai la conso varie environ de 80 kw en un mois, la moyenne étant de 488 (toujours pour moi) et, réellement de 434 en mai et 518 en juin….. Sachant qu’en juin, les longues coupures ont été moins fréquentes qu’en mai (les petites je n’en parle pas, c’est une honte), la différence peut s’expliquer.

Donc, pour ma part, même si je peste contre cette facture, elle s’explique. Ce que je ne m’explique pas c’est pourquoi ces changements de tarifs, ces augmentations de charge fixe…. Et je continue à clamer haut et fort que c’était mieux avant, plus cher, toujours cher mais plus fiable et sans surprise. Mais ca, ce n’est pas du ressort de Luz y Fuerza mais bien de la Superintendancia. Si quelqu’un veut s’y frotter…..

En aparté: pour répondre à une question, le demi tarif est toujours en vigueur pour une conso de moins de 180 kw et par ce fait, les Dominicains les plus pauvres sont peu concernés par cette hausse et, bien sûr, non il n’y a pas de discrimination, faut pas non plus tomber une fois de plus dans la paranoia si chère aux français. C’est compliqué, c’est pas clair mais c’est pour tout le monde pareil et pi c’est tout. Je viens aussi de me rendre compte en épluchant cette maudite facture qu’en mai, 29 jours étaient facturés et en juin 33…… donc automatiquement la facture de juin est de toute façon plus élevée de plus de 10% en dehors de toute augmentation…..

France-Islande…..

En fait, il fallait juste y être pour comprendre. Ici, 10000 kms de la France, le bel XO plein à ras bord pour assister au duel France-Islande. J’y étais, enfin, j’y étais avant, pour déjeuner avec mon Mimi supporter. On est arrivés avec Tatoo sur les coups de 13 h. L’endroit était désert mais toutes les tables réservées. Mimi, en grand pro avait évidemment réservé le meilleur emplacement.

Et là, une petite parenthèse pour vous dire, si vous ne le savez pas, que le XO est franchement l’une des meilleures tables de LT. C’est juste parfait. Voyons, Mimi a commandé un crabe farci (beurk moi j’aime pas), s’est régalé, 3 beaux crabes, succulents apparemment. J’avais pris en entrée des fleurs de courgettes farcies au crabe. Une tuerie, servie avec une petite sauce hollandaise (je crois) bien citronnée. 4 belles fleurs bonnes. Puis, pour Mimi le trio de mini-hamburgers-foie gras-oignons caramélisés-miel et pour moi, calamars grillés….. Dé-li-cieux……. Il y a pleins de suggestions en tapas, entrées et plat principal et franchement, c’est bon.

Bon, c’est pas l’tout, ils sont là pour le foot…. Ludo, la Maison de la Presse au grand complet, Bertrand, Michel de AIC, Philippe de la Boulangerie Française, pleins de retraités avec des chemises fleuries, des touristes, des que je ne connais pas….. C’est bien un match au XO

parce que d’un côté vous avez ça.

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Et de l’autre….. ça.

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Bon, je rentre, mes 9 canailles m’attendent à la maison, Mimi me racontera le match.

Et s’il vous prenait une violente envie…..

…. d’endives au jambon!

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Ben oui, ça peut arriver à tout moment, sans avertir et, juré, c’est cruel. Sauf si vous suivez mes petits conseils.

Pas d’endives fraîches (il y en a parfois à la Pola mais c’est de plus en plus rare), filez vite au Lindo, ils en ont en grosses boites. Une suffit pour deux gourmands. Arrivé chez vous, vous les sortez de leur boite, les égouttez bien, les presser avec vos petits doigts, les déposer gentiment sur une assiette plate recouverte d’un papier absorbant et les cachez sous un autre papier absorbant. Puis vous les laissez au frigo. Bien sûr vous n’avez pas oublié le jambon (Alitalia le meilleur mais celui du Lindo est tout à fait correct). Une demi-heure environ avant de vous mettre à table, vous sortez vos petites merveilles du frigo, les libérez de leur papier absorbant, elles sont bien sèches et tout à fait prêtes à épouser le jambon. vous les enroulez avec délicatesse, chacune dans une demi-tranche de jambon, les piquez avec un cure-dent pour ne pas qu’elles s’échappent, il y en a 7 ou 8 (petitounes) dans la boite. Depuis la venue de ma copine de St-Barth qui affiche fièrement 23 kgs en moins….. j’ai décidé de faire dans le light…. non mais!!!!! Et pour ces endives au jambon pas de béchamel farineuse et bien beurrée, non, juste de la crème fraîche et un peu de gruyère (ou mozzarella) rapé. J’en mélange un peu avec la crème (un petit carton), je leur ajoute une gousse d’ail finement coupée, un peu de sel, beaucoup de poivre et un tchin de noix de muscade. Je nappe mes endives au jambon, confortablement installées dans leur petit plat de pyrex, de ce succulent mélange, y rajoute un peu de fromage rapé pour que ça dore bien. Et hop, sous le grill du four jusqu’à ce qu’elles aient pris une belle couleur appétissante.

Et c’est juste une tuerie!