Carnet de voyage… Bresil

Mr et Mme Voleau, fraîchement mariés allaient profiter pleinement de leur cadeau de mariage. Un road-trip au Brésil. L’idée, louer une voiture à Rio et parcourir le pays jusqu’à Ilha de Guajiru, port d’attache de Joseph. Pas de réservation, un GPS, histoire de ne pas trop se planter, un bon gros guide du pays et c’est parti pour une aventure inoubliable… avec cependant derrière la tête une envie, un rêve…

Brésil, carnet de voyage, du 5 octobre au 8 novembre 2010

Si vous êtes partants, petite escapade au Brésil où, durant 5 semaines nous sommes allés en auto, de Rio à Ihla do guajiru, tout au nord à quelque 250 kms de Fortaleza (près de 3000 kms). Un fantastique voyage bourré de souvenirs et d’anecdotes rigolotes. Attachez vos ceintures, c’est le départ !

5 octobre

Une pluie fine et continue ce matin sur Las Terrenas, valises bouclées, l´heure du départ était arrivée et nous étions fin prêts. Direction la capitale !

Il faut croire que le tout Santo Domingo s’était donné RV dans les rues. Des bouchons de partout et cette clim. qui ne fonctionnait pas. L´horreur. Apres un temps infini, nous arrivons enfin au garage où une équipe très aimable, accepta de s’occuper de notre voiture pendant ce périple au Brésil. Super. Une secrétaire charmante appelle un taxi, il arrive, coince avec peine nos bagages contre son tank de gaz trafiqué. Direction aéroport. Au bout d’environ 20 minutes, Mimi est pris d’une angoisse. Heu, justifiée…J’avais oublié la mallette de l’ordinateur au garage, en plein milieu de nulle part. Demi-tour, taxi serein, Mimi un peu moins, on repart dans l’autre sens, bravant les sempiternels bouchons. Un bon 30 minutes plus tard, nous y sommes. Et, miracle, la mallette aussi. Ouf. Cette fois on part.

Un peu en avance, un peu affamés, nous dénichons au 1er étage de l’aéroport un nouveau resto fort acceptable.

Derniers instants d’attente, l’avion arrive à l’heure et c’est le départ. Vol assez agréable, malgré un avion bondé et une nourriture exécrable.

Petit réveil mouvementé : miss calamité (c’est moi) renverse son café au lait sur le pauvre Mimi…. tout de blanc vêtu et…de moins en moins serein.

Arrivée à l’heure à Rio. Prise de possession de la voiture. Avis, top, personnel sympa et compétent. Départ pour notre première étape, Buzios.

Un peu incrédule, Mimi me voit brancher le GPS et indiquer notre destination. Miracle, ça marche. Merci mon Ludo. On sort comme des fleurs d’un Rio de Janeiro en plein trafic de 8h du mat. Mimi est conquis, pas par moi (le café du matin est toujours sur sa chemise blanche) mais par Ludo.

9h30. Buzios dans toute sa splendeur. C’est craquant. On essaye une Pousada recommandée par Lonely Planet (merci Laurent), mais pas terrible. Une autre, située en plein centre nous attire. J’explore…. Conquise. C’est ravissant, raffiné, plein de jolies choses partout.

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A vendre, Casa Yaque, coquette et atypique, une pépite à Las Terrenas

Un charme fou pour cette coquette maison au vaste potentiel, idéalement située à 500 m du Paseo et de la plage.

Nichée sur un vaste terrain arboré de 1200 m2 s’étageant de facon atypique sur différents niveaux, la propriété, très calme, se compose d’une maison principale, d’un bungalow en bardeaux facon casa dominicaine, d’un bungalow à aménager et d’une ravissante piscine.

Avec son petit air colonial et sa facade rythmée, la maison principale possède de sérieux atouts de séduction. Au rez de chaussée, sur 70 m2, un charmant séjour, une belle chambre avec salle d’eau et une cuisine. A l’étage, desservie par un majestueux escalier, une chambre et sa salle d’eau d’une surface de 25 m2 ainsi qu’une petite terrasse dominant la végétation.

Le bungalow de 25 m2 est des plus charmants. Avec ses bardeaux de bois, il se rapproche des constructions typiques dominicaines. Une chambre confortable avec sa salle d’eau et, à l’extérieur, sur le beau deck en bois une kitchenette pour des petits diners gourmands sous les étoiles.

Un second bungalow de 20 m2 est à aménager et juste à côté, un petit abri d’environ 12m2 occupe la fonction de buanderie.

La propriété qui nécessite quelques travaux d’embellissement, est vendue meublée. Avec son charme indéniable, sa position stratégique au cœur du village tout en offrant un vrai calme, proche des plages, elle saura devenir votre petit cocon douillet tout en s’avérant être également un excellent investissement locatif, ne serait-ce que grâce à ses deux bungalows.

Ajoutons à cela un prix tout doux 220 000 US$, et vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas vous précipiter pour une petite visite.

OUI, ou la plus folle des soirées blanches…

Eh oui, quelques mois plus tard, il a dit oui, j’ai dit oui. Une date, le 22 août, un lieu, ben le Syroz bien sûr. A l’époque, il était toujours le bb de Michel mais était tenu par celui qui devait être ma plus grosse déception… enfin, c’est du passé.

Les premiers invités furent nos enfants. Julien, mon fils, si loin en Australie. Pamela et Vanessa les parisiennes puis Joseph au Brésil ses enfants . Tous ont répondu présent, pour notre plus grand bonheur, même si leur séjour, venus d’aussi loin était ridiculement court. A la dernière minute, la jolie Karla, petite-fille de Mimi était des nôtres également.

Madame l’officiel a officié devant tous nos amis, francais, européens, canadiens, dominicains, d’ici, de là-bas. Ils étaient combien, 100, 200, je ne me souviens plus. Tous vêtus de blanc. Il y avait Astrid et Lionel, Colette et Serge, Luis, Orlando, Miguel, Jean, Alexandre, Pascal, Julio, Gérard, Claude, Lisa, Téo, Ludo, Babette, Sarah,Tatoo…. Et tous les autres. Le buffet succulent était signé Nadine et Véronique et le champagne coulait à flot. Nacho et un autre adorable DJ dont j’ai oublié le nom s’occupaient du son, minutieusement choisi en accord avec nos goûts, nos envies. La soirée fut fabuleuse, à la hauteur de l’événement et de notre amour. Le Syroz s’était fait beau, éblouissant de chaleur et de convivialité dans son décor féérique pour donner vie à la plus douce des soirées blanches dont mon tout nouvel époux avait le secret.

La fête s’est éternisée jusqu’au petit matin, une parenthèse enchantée qui restera dans les mémoires pendant très longtemps. Aujourd’hui encore, parfois au détour d’une rencontre, on me dit…. J’y étais.

 Il me reste des souvenirs et de très jolie photos…