Du fond des souvenirs, en espagnol dans le texte…

Petit message de Thierry de la Voile Blanche ce matin. Au fond de son téléphone, une pépite. De quoi regonfler l’ego parfois en berne de mon delicieux Mimi. Quelques recherches, oui, la pépite est bien signée Rafael Andujar, fan avant l’heure de Mimi et son Syroz. Je vous la livre telle quelle, en version originale. Les plus courageux ne maîtrisant pas la langue de Don Quichotte auront peut-être le courage de se lancer dans une traduction assistée par Internet. Pour les autres, belle lecture, c’est passionnant. Merci Thierry et merci Rafael Andujar.

Syroz Bar fue mi bar preferido en Las Terrenas.

El Syroz Bar es un bello establecimiento que comenzó a funcionar en el 2001. Lo comencé a visitar en el 2004, hasta que fue de MICHEL VOLEAU. Era un hermoso lugar ubicado en la calle libertad de Las Terrenas, cuyo patio da al Océano Atlántico, pudiendo los parroquianos que asisten a tan diferenciado lugar, disfrutar a plenitud de la quietud que trasmite el mar en las noches serenas, lo que lleva a los visitantes a sentirse en un ambiente de paz, como de sentir la sensación de pisar la fresca arena del mar.

 

El origen del nombre Syroz Bar.

Su propietario Michel tomó el nombre del Syroz de un bar que existía en el Brasil, el cual era de la propiedad del muy famoso músico Vinicius De Moraes a quien Michel admira por sus capacidades en las composiciones y el buen canto. Vinicius de Moraes nació 19-10-1913 y murió 9-07-1980, cuyo nombre completo era Marcus Vinícius da Cruz de Melo Morais, nació y murió en Rio de Janeiro, Brasil. Fue una figura capital en la música popular brasileña contemporánea. Como poeta escribió la letra de un gran número de canciones que se han convertido en clásicas. Como compositor dejó varias buenas canciones y como intérprete participó en muchos álbumes. También fue diplomático de Brasil. Sus canciones más conocidas son: Garota de Ipanerma, Canto a Lucia de Yoan, A felicidades, Água de beber Insensatez, Eu sei que vou te amar, Chega de Saudade, O que tinha de ser, (todas compuestas com Antonio Carlos Jobim, canciones que estaban disponible en SYROZ BAR del Michel Voleau, el Conde de la playa.

 

Las bebidas.

Nada mejor que disfrutar de una buena bebida de la que son preparadas en el Zyroz Bar, donde se les ofrece a sus visitantes los cócteles más famosos del mundo, como son: Caipirina, Piña Colada, la especialidad de la casa que es la Caiporoska con fresa, siendo esta la copa más solicitada por los visitantes. Además de ron, vino, vodka whisky, etc

 

La música

Se escucha una música internacional muy bien seleccionada, con noches especiales de Salsa. El Jazz es una de las preferidas, como las mejores piezas brasileras de los más destacados músicos y compositores del Brasil. La música de Brasil refleja la diversa cultura de la nación brasileña. Algunos de los géneros musicales populares originarios de Brasil más conocidos son el Choro, la Samba, la Bossa Nova y la música popular Brasileña.

 

Clientela

El Syroz Bar contaba con una exquisita clientela internacional donde entran los extranjeros vacacionistas y las comunidades de extranjeros residentes de Las Terrenas. También sobresalen un grupo de los dominicanos residentes y los tradicionales vacacionistas que vienen en las semanas santas, las navidades, los fines de semana largo y los fines de semana cortos distinguiéndose los grupos de la Capital, Santiago, La Vega, San francisco y otros lugares del país. Entre las personalidades asiduas al Syroz Bar se cuentan los historiadores Bernardo Vega y Hugo Tolentino Dipp, la subsecretaria de turismo Elsa De León, Aybar Vanderhorst, Deny Abreu, Iván Collado. Etc.

 

Las finas atenciones del propietario.

Recibía las mejores atenciones de su propietario Michel tiene por costumbre recibir y despedir a las personalidades que asistan a su bar, lo que siempre hacia conmigo, me brindabas las mejores atenciones, al visitarlos me sienta como en mi propia casa y de esa manera puedan disfrutar a plenitud del Bar. Siempre podíamos hablar de diversos tema me obsequio varios libros.

Michel Voleau es un abuelo francés que lleva aquí hace más de 25 años, quien se integra a la vida normal de la comunidad, logrando distinguirse como una personalidad social muy respetable entre los franceses y los dominicanos.

 

“Conde de la Playa” es el sobrenombre de MICHEL VOLEAU.

La expresión “Conde de la Playa”, es el seudónimo de Michel Voleau el cual le fue indicado por un embajador alemán, que en una vacaciones que vino a disfrutar a Las Terrenas, estando encantado del ambiente del SYROZ BAR, le exclamó a Michel la expresión “Michel tu eres el conde de la Playa”. Los sinónimos de la palabra conde son: noble, señor, caballero, hidalgo y aristócrata.

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El SYROZ BAR fue mi bar preferido, un sitio distinguidos alrededor de las hermosas playas de Las Terrenas, lugar acogedor, donde me sentía muy bien con las atenciones personales de MICHEL VOLEAU, la foto que publico es del . “Conde de la Playa” MICHEL VOLEAU.

Histoires de Voir, escapade-plaisir sur les murs du bel El Lugar…..

 

Sans complexes, sans même se concerter, quelques images inédites, échappées de l’énigmatique story de Michel Voleau, Histoires de Voir s’offrent une escapade-plaisir sur les murs du bel El Lugar.

Lieu de prédilection des « beautiful people » de tous poils et de toutes nationalités, El Lugar est réputé, bien au-delà des frontières du village pour l’excellence de sa succulente viande cuite au feu de bois, pour ses petits plats aux mille parfums, ses exceptionnelles fajitas…. pour la saveur originale des subtils cocktails inventés par le charismatique boss Bruno, par l’accueil amical et personnalisé du craquant Federico et pour son ambiance chaleureuse dans un décor ethno-chic, bohême mais ultra raffiné. Chaque soir, c’est une belle bande de gourmets qui se donne rendez-vous pour profiter jusqu’à pas d’heure de cette atmosphère douce et festive.

El Lugar, c’est une belle et vaste terrasse bercée par les embruns de l’océan tout proche, caressée par de doux alizés, c’ est un espace intérieur cocooning habillé de bois, d’ardoise, de métal et de mille coussins moelleux avec en vedette un brasero géant où grésillent les merveilleuses pièces de viande. Apache, Evasion, Nera, Doggy, Dreambag et Landes, sont les nouveaux gardiens du temple. Créatures étranges, nés de l’œil aguerri d’un photographe fantasque, elles prennent un malin plaisir à nous observer. Clichés très graphiques aux interprétations multiples, elles interpellent et pimentent par leur originalité et leurs coloris subtils cet endroit d’ exception qui, pour le temps d’une exposition ne semble fait que pour elles.

El Lugar . Playa Popy . Las Terrenas

 

Michel Voleau, Histoires de Voir

Il dit : « Le monde est peuplé de créatures étranges qui prennent un malin plaisir à nous observer. »

Son œil aguerri lui permet de les rencontrer, au gré de ses escapades au Brésil,

dans les rues du village, le décor d’un bistrot, mais surtout, sur la plage langoureuse où sommeillent les barques colorées.

Il nous le livre aujourd’hui, sans intention particulière, à travers des clichés très graphiques, hauts en couleurs qui racontent tous une belle histoire.

Histoires de voir, oeuvre abstraite très personnelle, d’une poésie et d’une force extraordinaires, illustre à merveille la magie de la photographie:

mettre sous nos yeux une image réalisée par un autre, mais qui n’appartient qu’à nous par l’interprétation que nous en faisons.

Entrons dans le jeu et, sans ambages, partons à la découverte de ces « créatures étranges qui prennent un malin plaisir à nous observer… ».

michelvoleau.wordpress.com

Histoires de Voir…. Première partie.

C’est si douloureux Mimi. La maison est remplie de toi de ta douceur, de ta nonchalance aussi. Les chiens, moi… on ne comprend pas ton absence. Mais comment vivre sans toi.

Auto-portrait d'un artiste en pleine action

Auto-portrait d’un artiste en pleine action

L'inspiration

L’inspiration

C’est peut-être, c’est sûrement, parce qu’au fond de lui il est resté un petit enfant que Michel réussit à voir, à débusquer, des choses que le commun des mortels n’imagine même pas, comme un gamin s’inventant de belles histoires. C’est vrai, après avoir plongé dans son monde imaginaire, il nous arrive, au gré de nos balades d’essayer de faire vivre à notre tour ces créatures étranges qui prennent un malin plaisir à nous observer. Parfois, on réussit. Clic, clac, un gentil monstre est capturé dans notre boîte à images. Mais, c’est juste parfois. Pour lui, c’est devenu une seconde nature ou même sa première nature. L’œil aguerri, toujours à l’affût, l’instamatic à portée de main, il ne se lasse jamais, fouille, inspecte, devine sur les coques fatiguées, abîmées des personnages incongrues, gargouilles, oursons, baleines bleues ou blanches, toucans ou rhinocéros, des savanes africaines, des harmonies de couleurs, des scènes de vie aussi…. Détails infimes, anodins qui se transforment pour notre plus grand plaisir en un bestiaire magique, en scènes bucoliques qui s’offrent sans ambage à nos yeux émerveillés.

Depuis ses dernières expos, Michel, insatiable artiste un brin fantasque, a ramené dans sa besace, surprenants et ludiques, d’autres audacieux compères que je vous livre aujourd’hui. Et si, je leur ai donné un nom, c’est à vous de les découvrir, de les ressentir et de les faire vivre.

Belle balade dans ce monde imaginaire, peuplé de créatures étranges ou délicieuses, qui prennent un malin plaisir à nous observer.

Crabe? Chien? Deux en un

Crabe? Chien? Deux en un

Florilège

Florilège

Rupture.... Elephant

Rupture…. Elephant

Un monde fou

Un monde fou

Picoti, picota

Picoti, picota

Au pays du soleil levant

Au pays du soleil levant

Préhistoire?

Préhistoire?

Baleine bleue. Janvier à Samana?

Baleine bleue. Janvier à Samana?