Saison cyclonique 2025, on y est.

On y est, c’est parti pour 6 mois, le 1er juin marque dans  l’Atlantique Nord,  le début de la saison cyclonique; elle prendra fin le 30 novembre. Les risques de perturbations majeures étant généralement optimales en septembre. Mais attention, saison cyclonique ne veut pas dire mauvais temps, durant toute la période, le temps est en général chaud et majoritairement beau et ensoleillé, ce qui réchauffe la mer et favorise la venue des satanés ouragans.

Mais pour bien tout comprendre, lisez donc la suite!

Petite piqûre de rappel : comment se forme un cyclone ?

Tout d’abord, il ne se crée pas à partir de rien, mais à partir d’une zone perturbée : un amas nuageux ou une ligne de grains ou encore une onde tropicale, qui est dans le jargon spécialisé, une perturbation tropicale. Les perturbations qui nous concernent prennent le plus souvent naissance au large du Cap Vert mais, elles peuvent aussi naître très près de nous et se développer rapidement.

Autre condition, celle qui assure le  » carburant  » du système, élément nécessaire pour maintenir ou développer une zone perturbée. Ce carburant, c’est l’eau chaude, l’océan devant avoir une température d’au moins 26°, certains disent même 26,5 degrés Centigrades, sur au moins 50 mètres de profondeur. L’évaporation de surface de grandes quantités d’eau fournira l’énergie nécessaire pour entretenir le système de machine à vapeur qu’est une formation cyclonique. Si l’eau est trop froide, le cyclone ne peut pas se former ou, s’il était déjà formé préalablement, il s’affaiblit puis finit par perdre ses caractéristiques cycloniques.

Autre élément : les vents doivent être relativement homogènes de la surface jusqu’aux sommets nuageux, au-delà de 12 à 15 km d’altitude. Sur toute cette épaisseur, le profil de vent doit en effet être régulier, c’est-à-dire avoir la même direction et la même force ou presque. Lorsque cette condition est réalisée, la partie active de la perturbation reste concentrée et un renforcement du système peut s’effectuer. Sinon, l’énergie développée par le système va se disperser et le système a tendance à se  » cisailler « . C’est le cas par exemple quand on rencontre des vents d’Est dans les premiers niveaux, alors que des vents d’Ouest ou de Nord sont observés plus haut. Le déplacement du système va se trouver contrarié, et il aura tendance à se désorganiser.

Enfin, il y a une condition absolument nécessaire, qui est en réalité une nécessité mécanique, physique primordiale. Les courants d’air ascendants au cœur du système vont abaisser la pression atmosphérique en surface, mais il n’y aura de dépression pouvant se creuser que si on n’est pas trop près de l’équateur. En effet, sur les régions équatoriales, conséquence de la rotation de la Terre sur elle-même, le tourbillon ne peut se créer car la force de pression agit pour combler immédiatement toute velléité de creusement dépressionnaire. Ainsi, un cyclone ne peut se former que s’il se situe à plus de 6 ou 7° de latitude. C’est cette condition qui empêche aux cyclones de se développer ou de se diriger vers la Guyane ou le nord du Brésil, pour ne parler que des régions proches des Antilles : ce sont des zones trop proches de l’Equateur !

Toutes ces conditions sont donc nécessaires à la formation et au développement d’un cyclone tropical. Si l’une au moins de ces conditions n’est pas remplie, le cyclone ne peut se former. Si un cyclone était formé et qu’une de ces conditions disparaît, il s’affaiblira et pourra se désagréger au bout de quelques heures : voyage au-dessus d’eaux trop froides ; parcours sur de larges étendues terrestres (s’ils rentrent, on dit atterrissent, sur des continents, sur le Mexique ou les Etats-Unis par exemple, ils peuvent mourir, se dissiper, dans les 24 heures) ; profil de vent dit cisaillé ; trajectoire trop proche de l’équateur.

Le cyclone dans tous ses états

On les appelle ouragans, cyclones ou typhons, ces trois termes désignent tous un seul et même phénomène que l’on appréhende et que l’on surveille de très près lorsque l’on vit sous nos latitudes. Les cyclones tropicaux se caractérisent par des vents soutenus d’une vitesse maximale d’au moins 120 km/h près du centre.

En fonction de la vitesse maximale du vent soutenu, on distingue trois classes de perturbations tropicales:

Dépression tropicale quand la vitesse est inférieure à 63 km/h;

Tempête tropicale quand cette vitesse se situe entre 63 et 118 km/h; c’est à ce stade qu’on baptise le phénomène;

Cyclone ou ouragan quand cette vitesse dépasse 119 km/h.

Les cyclones tropicaux peuvent s’étendre sur des centaines de kilomètres et s’accompagner de vents destructeurs, de pluies torrentielles et d’ondes de tempête, voire parfois de tornades. L’échelle Saffir-Simpson classe les ouragans en cinq catégories selon leur force. Voici les vitesses maximales des vents soutenus correspondant à ces catégories:

Ouragan de catégorie 1 – les vents soufflent entre 119 et 153 km/h;

Ouragan de catégorie 2 – les vents soufflent entre 154 et 177 km/h;

Ouragan de catégorie 3 – les vents soufflent entre 178 et 209 km/h;

Ouragan de catégorie 4 – les vents soufflent entre 210 et 249 km/h;

Ouragan de catégorie 5 – les vents soufflent à plus de 249 km/h.

Comment baptise-t-on les cyclones tropicaux?

La durée de vie des cyclones tropicaux atteint une semaine voire plus, si bien qu’il est possible que deux cyclones tropicaux se produisent simultanément. Pour éviter toute confusion, les prévisionnistes baptisent donc chacun des cyclones tropicaux à partir de listes annuelles où alternent prénoms féminins et prénoms masculins classés par ordre alphabétique. Ainsi, en 2024, nous ferons peut-être la connaissance de Andre.Barry.Chantal.Dexter.Erin.Fernand.Gabrielle.Humberto.Imelda.Jerry.Karen.Lorenzo.Melissa.Nestor.Olga.Pablo.Rebekah.Sebastien.Tanya.Van.Wendy

Comment prévoit-on les cyclones tropicaux?

Partout dans le monde, des météorologistes font appel à la technologie moderne (satellites, radars ou ordinateurs) pour suivre l’évolution des cyclones tropicaux. Ces phénomènes sont souvent difficiles à prévoir, car ils peuvent brusquement perdre de leur intensité ou incurver leur trajectoire. Les météorologistes disposent cependant de technologies à la pointe du progrès pour prévoir comment un cyclone tropical évoluera, y compris dans son déplacement et ses variations d’intensité, ou encore quand, à quel endroit et à quelle vitesse se produira son atterrage. Les Services météorologiques des pays exposés sont ainsi en mesure de publier des messages d’alerte officiels et, grâce à la coopération et à la coordination à l’échelle internationale, la surveillance des cyclones tropicaux, dès les premiers stades de leur formation, ne cesse de s’améliorer.

Prévisions 2024

A l’instar des évènements de l’année passée, la saison cyclonique 2025 devrait être marquée par une activité supérieure à la moyenne sur l’Atlantique-Nord. La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) prévoit entre 3 et 5 ouragans majeurs. L’absence de conditions de type El Nino sur le Pacifique, des températures élevées à la surface de l’océan et une forte mousson africaine seront déterminants

Dans un communiqué publié il y a quelques jours, la NOAA prévoit cette année entre 13 et 19 tempêtes tropicales (vents entre 63 et 118 km/h) sur l’Atlantique équatorial. 6 à 10 d’entre-elles pourront évoluer sous la forme d’ouragans (plus de 118 km/h), dont 3 à 5 sous forme majeure (plus de 178 km/h), c’est-à-dire de catégorie 3, 4 ou 5 sur l’échelle de Saffir-Simpson.

La formation d’un grand nombre de systèmes cycloniques n’est pas forcément synonyme de plus de catastrophes. En effet, pour parler de catastrophes, il faut qu’un phénomène provoque des dégâts matériels ou humains. Les trajectoires de ces systèmes cycloniques ne seront pas forcément dirigées vers des zones habitées, il faut donc attendre les prévisions de ces systèmes et suivre leur évolution tout au long de cette saison 2024.

En aparté, je vous donne mon truc pour contrer les cyclones, chaque jour en période cyclonique, je me connecte à l’un de ces sites et si un cyclone pointe le bout de son nez, je le regarde droit dans les yeux et ne le lâche plus jusqu’à ce qu’il disparaisse de l’écran. Juré, ça marche!

Un des meilleurs site pour suivre l’evolution de la saison cyclonique : https://www.nhc.noaa.gov/

Balade et pêche, un incommensurable bonheur.

Enfin, le beau temps est revenu et le soleil n’en peut plus de se pavaner dans son ciel tout bleu. Vous êtes nombreux, cette saison à profiter de notre petit village et de ses sublimes plages, Coson, Bonita, Ballenas, Popy, toutes plus délicieuses les unes que les autres.

Mais, si l’envie vous prenait de découvrir d’autres pépites, plus fantastiques encore, plus sauvages, plus surprenantes… J’ai ce qu’il vous faut. Bientôt, playa Hermitanio, Jackson, Moron, Onda… n’auront plus de secrets pour vous. Elles ont en commun un charme absolu, un sable si fin et une eau transparente, presque un rêve que vous pouvez toucher du doigt. Difficile d’accès par la route, voire impossible, elles s’offrent à vous de la plus belle des manières, par la voie maritime.

Francis, c’est un des pêcheurs qui a eu la divine idée d’ouvrir une poissonnerie rive gauche, à Las  Ballenas, juste en face du retour de la pêche, là où dodelinent  langoureusement les barques colorées. Dans son échoppe, poissons, crevettes de Sanchez, mais aussi langoustes vivantes et autres crustacés selon l’arrivage. Et depuis peu, une autre proposition, ludique et tellement attendue, une balade en mer, à la découverte de plages mythiques, belles et préservées, mais aussi une initiation à la pêche, au snorkeling …. avec grillade sur la plage, en famille ou entre amis. Les escapades en mer sont à la carte pour le plus grand plaisir des vacanciers. Francis possède quatre bateaux, de la barque typique au bateau confortable pouvant transporter 28 personnes. Découvrir notre merveilleux littoral de la mer est une aventure extraordinaire à surtout ne pas manquer. Mais attention, danger, vous risquez juste d’en être encore un peu plus amoureux…

N’hésitez pas à passer à la poissonnerie ou à téléphoner à Francis pour plus de détails. Soyez audacieux, osez une merveilleuse balade en mer en toute sécurité pour un moment-bonheur, hors du temps.

En vrac quelques images de sublimes plages à découvrir et de bouilles heureuses de cet instant entre parenthèses.

Bourré de charme et très controversé, Rubirosa, le playboy dominicain.

Porfirio Rubirosa, né le 22 janvier 1909 à San Francisco de Macorís, en République dominicaine, reste dans les mémoires comme un playboy emblématique et une figure controversée du XXe siècle. Sa vie a été marquée par sa proximité avec le régime dictatorial de Rafael Trujillo, où il a exercé les fonctions de diplomate, années durant lesquelles on lui attribue des liens avec de sombres activités politiques, notamment des rumeurs de participation à des meurtres.

Vie et carrière

Formation et petite enfance

Rubirosa a grandi dans un environnement privilégié grâce à son père, un militaire devenu diplomate. Il passe une partie de sa jeunesse à Paris, où il développe un goût pour la vie nocturne et les sports équestres. Bien qu’il ait commencé des études de droit, il a quitté l’université pour rejoindre l’armée dominicaine.

Relations avec Trujillo

Porfirio Rubirosa entretenait une relation complexe et multiforme avec Rafael Trujillo, le dictateur de la République dominicaine. Leur lien a commencé en 1931, lorsque Rubirosa a rencontré Trujillo dans un country club et est rapidement devenu membre de son cercle proche. En 1932, Rubirosa épouse Flor de Oro Trujillo, la fille du dictateur, ce qui consolide sa position au sein du régime.

Tout au long de sa vie, Rubirosa a été un diplomate fidèle au régime de Trujillo, servant dans des ambassades dans diverses villes comme Berlin, Paris et Buenos Aires. Sa capacité à interagir avec des personnalités influentes et son attrait personnel ont fait de lui un atout précieux pour le dictateur, qui l’a décrit comme « bon dans son travail » en raison de son charisme et de sa capacité à impressionner les femmes. Malgré ses amours et sa renommée de playboy, Trujillo le protégea même après son divorce avec Flor de Oro, ce qui était inhabituel pour quelqu’un en disgrâce.

Rubirosa a été témoin d’événements importants au cours de son séjour à l’étranger, notamment la Seconde Guerre mondiale et la révolution cubaine. Considéré comme un « gigolo » pour ses nombreuses relations avec des femmes riches et célèbres comme Marylin Monroe ou Ava Gardner, il a également joué un rôle d’espion informel pour le régime de Trujillo. Après l’assassinat de Trujillo en 1961, Rubirosa tenta de maintenir son influence en soutenant Ramfis Trujillo comme son successeur, mais sa carrière politique s’est rapidement évanouie après la chute du dictateur.

Mode de vie

Rubirosa était connu pour son style de vie hédoniste : joueur de polo, pilote de voiture et d’avion, il aimait les fêtes extravagantes et entretenait une image de séducteur inégalé. Sa renommée s’étendait au-delà de ses conquêtes amoureuses ; On lui attribuait des qualités physiques exceptionnelles qui alimentèrent sa légende.

Paris

La vie de Porfirio Rubirosa à Paris a eu un impact significatif sur sa formation personnelle et professionnelle, façonnant son caractère et ses aptitudes sociales.

Rubirosa a passé une partie de son enfance et de son adolescence à Paris en raison de la carrière diplomatique de son père, envoyé à l’ambassade dominicaine de la ville. Cet environnement lui permet d’interagir avec la haute société européenne, où il commence à développer sa personnalité raffinée et bohème. Les rencontres avec des jeunes de l’élite parisienne lui apprennent l’art de la séduction et lui offrent l’occasion de nouer de précieuses relations.

Apprentissage des compétences sociales

Lors des fêtes et des événements sociaux, Rubirosa rivalisait pour attirer l’attention des jeunes femmes, ce qui lui permettait de perfectionner ses talents de séducteur. Son charisme et son charme personnel sont devenus des outils clés qu’il a utilisés tout au long de sa vie pour interagir avec des femmes influentes et riches. Cet apprentissage à Paris a contribué à consolider sa réputation de conquérant légendaire.

Passions développées

Durant son séjour en France, Rubirosa devient également un passionné de polo, un sport qu’il pratique avec ferveur et qui devient une part importante de son identité. Par ailleurs, il commence à s’intéresser à la course automobile, qui deviendra plus tard une facette marquante de sa vie de pilote.

Style de vie glamour

La vie parisienne lui permet d’adopter un style de vie luxueux et glamour, de s’entourer de personnes influentes et de profiter des plaisirs qu’offre la ville. Ce style se reflétait dans ses mariages avec des femmes riches, comme Doris Duke, Barbara Hutton, Daniele Darrieux qui contribuèrent à maintenir son image publique de playboy.

La mort

Le 5 juillet 1965, Rubirosa meurt dans un accident de voiture à Paris lorsque sa Ferrari s’écrase contre un arbre après une nuit de fête. Il avait 56 ans et avait remporté le même soir la Coupe de France de Polo126. Sa mort a fait l’objet de spéculations, notamment d’hypothèses sur un possible meurtre ou suicide, bien que celles-ci n’aient pas été confirmée2.

Héritage

La figure de Porfirio Rubirosa est restée un symbole du glamour et de la décadence du XXe siècle. Sa vie a inspiré des livres et des films, soulignant son influence sur la culture populaire, notamment comme source d’inspiration possible pour le personnage de James Bond créé par Ian Fleming. Malgré les controverses qui ont entouré sa vie, Rubirosa reste dans les mémoires comme l’un des derniers grands playboys du monde.

Profundo Blue, escapade dans le bleu profond…

Plus beau que dans les rêves.

Une plongée dans les eaux chaudes des Caraibes se savoure comme une escapade sensuelle unique et inoubliable, la découverte d’une vie marine foisonnante où la couleur règne en maître. Praticable tout au long de l’année, sauf en cas de gros temps, chaque plongée est singulière. Récifs de coraux, cavernes sous terraines, épaves antiques ou contemporaines, ballets de poissons multicolores, gorgones majestueuses, rencontres coups d’cœur avec de jolies tortues en goguette, un requin, peut-être, mais juste câlin ou même des dauphins malins… Profundo Blue vous propose de vivre pleinement ces escapades insolites en vous les appropriant sous la forme de petites sorties en comité très réduit, des rendez-vous privilégiés à la découverte de l’inattendu.

Thierry Demesmacre, le tout nouveau boss

Bruxellois d’origine, ce jeune belge est tombé en amour pour Las Terrenas dès sa première venue il y a près de quinze ans. Tout môme, il s’est pris de passion pour la plongée, cette sensation de liberté qu’elle procure, ces mondes secrets qu’elle dévoile aux audacieux. 30 ans déjà qu’il plonge, un peu partout dans le monde et cinq ans qu’il a posé palmes, bouteilles et tuba à Las Terrenas. Depuis, il n’a pas cessé de plonger dans différents clubs et a acquis une belle connaissance des lieux.

Notons au passage, qu’il a activement participé à la création et la réalisation d’une entreprise de sauvetage de la barrière de corail et de la faune marine initiée par Turtle Dive Center. C’était en 2017.

Puis, une opportunité s’est présentée, acquérir son propre club, un établissement des plus coté, créé il y a plus de vingt ans, pour lequel il travaillait depuis trois ans. Très enthousiaste, il saute sur l’occasion, après en avoir longtemps discuté avec sa compagne. Le voilà boss de Profundo Blue Diving Center.

Profundo Blue, des plongées sur mesure

Thierry prend plaisir à travailler seul, faire découvrir ses merveilles à ses plongeurs, les guider, les surprendre. Les escapades se font en tout petit comité, 4 plongeurs maximum, mais, en cas de demande plus nombreuses, il fait appel à d’autres instructeurs diplômés.

Les déplacements sur les lieux de l’immersion, choisis au jour le jour se font avec un bateau de pêcheur traditionnel et son capitaine très local. Et, cerise sur le gâteau, étant donné la taille humaine de la structure de Profundo Blue, les plongées se font à la carte avec la plus grande flexibilité, en fonction des désirs et des attentes du plongeur. C’est à l’agence, à l’hôtel Afreeka de Punta Popy que se décide la destination du jour, tenant compte de l’avis du boss, des clients et de leur niveau, bien sûr. Et, il y en a vraiment pour tous les goûts. Pour les novices, un baptême de plongée est proposé sur un site hyper protégé juste devant les îlots de Las Ballenas. Et, pour les moins téméraires de belles sorties snorkeling sont également organisées.

Quelques sites d’exception

Cinco Metros

Au plus proche des îlots Las Ballenas, « Cinco Metros » est un site qui s’enfonce doucement jusqu’à 6m. Idéal pour le snorkeling et les baptêmes de plongée. De nombreuses espèces de gorgones (Gorgone éventail notamment) et de coraux (Corail cerveaux…). Mais aussi de larges bancs de carangue franche, sergent major, poissons perroquet,

Piedra Marcel

2 jet-skis coulés volontairement à 18 mètres au fond d’un pinacle corallien. Génial pour les photos et aussi pour la navigation, pour passer d’une tête de corail à une autre. Tortues et raie s’y baladent, en compagnie de poissons-lion, et d’une foultitude de délicieuses petites espèces tropicales aux couleurs vives. Jolis montages de coraux.

Canyons

Ce site est constitué de récifs coralliens, de canyons, de passages et d’arches. La profondeur est comprise entre 7 et 17 mètres. Idéal pour une plongée de recyclage afin de travailler la flottabilité, ou pour les plongeurs plus avancés qui souhaitent explorer les environs. C’est le paradis des gros crabes (centollos). Requins nourrices occasionnels dormant dans les tunnels, quelques belles espèces tropicales et parfois des poissons-lions.

Cuevitas (le site favori de Thierry)

Une succession de petits tunnels très faciles à négocier dont la sortie reste visible dès l’entrée. Ils sont faisables dans un sens comme dans l’autre. On y rencontre de nombreuses espèces de gorgones (Gorgone éventail notamment) et de coraux (Corail cerveaux…). C’est également le repère de poulpes, cigales des mers et autres murènes.

« Je ne me lasse pas de cette succession de canyons et petites caves dans lesquelles évoluer. Chaque plongée est une nouvelle découverte… De plus j’adore dans l’organisation de cette plongée le fait que le retour au bateau ne se fasse pas au même endroit que la mise à l’eau. Cela donne une réelle impression de balade sous-marine avec différents environnements tout au long de l’immersion. »

Creole Reef

De longues lignes de récifs coralliens sur 24/28 mètres de profondeur. Une petite épave est également à trouver juste en bas de notre ligne de descente. Ce grand plateau de corail est facilement accessible pour tout plongeur ou cours avancé. Au milieu de tous les habituels poissons de récifs des Caraïbes, il est possible de croiser barracudas, murènes, poulpes, raies (pastenague et léopard).

Dolphin

Épave très facile d’accès entourée de sable sur 26/28 mètres de fond. Une ligne de descente est fixée sur son côté. Quelques petites cales ainsi que la cabine de pilotage sont accessibles. Non loin, des patates de corail finissent de donner à la plongée un aspect très tranquille. De nombreux poissons chirurgiens, carangues, poisson anges sont présent tout au long de la plongée. Mais aussi, petites seiches, murènes, barracudas…

Il ne vous reste plus qu’à…

Le centre est ouvert du lundi au samedi de 8am à 3pm En cas d’absence, WhatsApp ou Messenger.

Internet :https://profundoblue.com/ Mail: profundobluerd@gmail.com / Instagram : profundoblue

Facebook : Profundo Blue international diving Center / WhatsApp : +1 829 349 19 13

Tarifs sur demande.

Le port des pêcheurs…

…à ne pas confondre avec le Village des Pêcheurs. Et si ce dernier est, ou plutôt, était une institution à LT, l’un des tout premiers endroits de vie mêlant allègrement expatriés, pêcheurs, résidents et touristes, un lieu festif et convivial, vieux de plus de 50 ans, le port des pêcheurs, lui, ne connait une certaine notoriété que depuis une petite dizaine d’années. A l’origine, Paco, un visionnaire un brin fantasque qui, un beau matin, eut l’idée saugrenue mais géniale d’installer son petit lolo derrière le cimetière. Il loua une cahute faite de bric et de broc à un pêcheur, y installa de quoi sommairement cuisiner, inventa une terrasse meublée de quelques tables et chaises bancales mais avec une vue époustouflante. Pacomer était né. Aux commandes Paco et aux fourneaux Sarah, son ex-compagne et amie de toujours, cuisinière hors pair, capable d’imaginer un festin à partir de trois fois rien, un beau poisson tout frais, quelques oursins, du citron vert et le tour est joué. Pour l’anecdote, à l’époque, Mimi et moi étions encore propriétaires du Syroz et, comme nous ne pouvions rien lui refuser, nous avions organisé un système d’eau pour alimenter Paco. Un simple tuyau, courant sur le sable, du bar au petit resto. Combien de fois a-t-il été percé, je ne saurais le dire. Pao est resté longtemps seul dans son petit lolo, sous un amandier géant. Puis, peu à peu l’idée a fait son chemin. Les pêcheurs propriétaires de ces petites cabanes le long du cimetière où ils abritaient leur matériel de pêche se sont vus sollicités par tout un tas de personnes, dominicains, francais, italiens, haitiens… qui, en fin de compte ont trouvé l’endroit fabuleux et l’audace de Paco pas si stupide. Le port des pêcheurs, peu à peu devint l’endroit incontournable avec sa bonhomie, sa cuisine simple mais savoureuse, les pieds dans l’eau. Ce n’est que plus tard, il y a à peine quelques années que les paillottes au toit de cana ont été construites, indispensable confort pour faire de ce lieu un vrai bonheur a l’abri du soleil cuisant.

Le 4 janvier, l’indicible se produisit de la faute d’un décérébré qui négligea une fuite de gaz pourtant évidente et, de surcroit eut la bêtise de tenter de la réparer une clope au bec.

Puis, ce furent des discussions, des douches chaudes et froides. Oui on peut reconstruire, non on ne peut pas. Toujours ce problème des 60 mètres, oui mais… justement, le problème est identique pour le fameux Village des Pêcheurs, lui-même brûlé et en cours de reconstruction. Alors, réunion après réunions, avec l’appui du maire du village, l’accord est enfin arrivé. Oui, ils peuvent reconstruire sous certaines conditions.

Des cagnottes, de ci de là ont vu le jour pour aider les sinistrés à rebâtir leur gagne-pain car il s’agit bien de cela. Nul investisseur ici, mais des familles, pour la plupart, comptant sur ce travail pour survivre.

Ce matin, je suis allée faire un petit tour, à la rencontre de certains de mes amis, Bénédicte, Eddy, Jerry, Sarah, Coseco… leur sourire fait plaisir à voir, même si le chantier, considérable est loin d’être terminé. Comme toujours, ici, les chose se passent sans de sérieux contrats et certains constructeurs en herbe en profitent pour essayer de rafler quelques milliers de pesos supplémentaires à ces pauvres gens déjà à l’agonie. Mais ca travaille de tous les côtés, le long du cimetière, les cabanes-cuisines sont presque prêtes et les terrasses commencent à s’aligner sur le sable face à un décor toujours aussi saisissant. Alors, impossible de prédire à l’heure qu’il est la date de réouverture, mais, la reconstruction va bon train et ce lieu délicieux aura tôt fait de renaître de ses cendres.

En vrac, quelques images glanées ce matin de la reconstruction et des personnalites fortes de ce petit coin de paradis, Bénédicte, Eddy, Sarah, Jerry et Coseco…

Franklin

C’est le nom de la tempête tropicale qui arrose la République Dominicaine en ce moment même. La première vraiment perturbante de l’année.

Vivant aux Caraibes depuis plus de 26 ans, dont 6 ans dans les Antilles francaises, je suis habituée aux mesures de préventions, indispensables à chaque fois pour éviter le pire. Restrictions de sorties, confinement avant, pendant et après… quelques comportements me semble-t-il relevant juste de la simple logique.

Ici, en République Dominicaine, j’étais fort surprise de voir, par le passé que rien n’était prévu en termes de sécurité à l’approche d’un événement cyclonique. Et, je fus agréablement interpellée lorsque hier, plusieurs mesures ont été prises, notamment la fermeture des commerces et bureaux et la demande de rester chez soi.

Or, figurez-vous que certains individus, certainement plus malins que les autres et alors même que la tempête est encore loin de nous critiquent ces mesures, râlent, tapent du pied. Non mais, comment peut-on s’ingérer dans leur vie… Mais ca m’énerve. Mieux vaut prévoir le pire à tort que d’espérer le mieux et se retrouver le bec dans l’eau.

En attendant, Franklin arrose le sud du pays. En observant sa trajectoire actuelle, il semblerait qu’elle ne fasse que nous frôler, et c’est tant mieux. Mais, nous ne le saurons que plus tard, vers 16h, 17h… Moi je dis bravo au gouvernement et au maire de LT d’avoir osé prendre des mesures de sécurité et alerter la population même si l’avenir nous montrera ou pas que c’était inutile.

En attendant j’ai tout rentré à l’intérieur du château de feuilles … j’ai vécu bien des tempêtes et cyclones et franchement, je n’aime pas ca.

Tragédie. Le Paseo en feu.

L’incendie s’est déclaré hier mercredi après-midi vers 16h. Apparemment un feu de cheminée. En même temps une cheminée sur un toit de cana, fallait oser. En quelques minutes le feu s’est étendu et a embrase la majorité des toits du Paseo. Les images insoutenables sont apparues sur le net et avec elles leur cortège de chagrin. Le Paseo c’est le poumon du village, le premier centre commercial, le point de rencontre des amis. Au Paseo il y a Fred, Bernadette, Babette, Jean Paul, … nos médecins chouchou, le brillant Charlie Simon, le Bistrot et ses bons petits plats, les filles Techer et leur incontournable adresse pour un p’tit creux… et bien d’autres encore.

Vers 19h, le feu était circonscrit et miracle la pluie s’est mise à tomber. Il a plu fort fort fort toute la nuit. Aide précieuse aux pompiers d’ici et d’ailleurs.

Le plus beau dans toute cette horreur aura été cette chaîne de solidarité incroyable. Des centaines de petite fourmis, dominicains, européens … tous ensemble liés de la mer aux flammes avec des bidons, des bouteilles … petites larmes d’amour et d’espoir pour lutter contre le feu. C’est beau. C’est l’image de cette cohésion rare qui existe bel et bien dans ce village. Tous unis pour lutter contre l’adversité, même si elle est plus forte.

Une dizaine de commerces ont été détruits ainsi que des appartements mais aucune perte humaine.

Le 16 août 2023, jour de la Restauration dans le pays restera marqué d’une pierre noire.

J’en connais un au ciel qui a du eprouver bien du chagrin. Le Paseo, c’etait son fief, son chez-lui, son bebe. Et mon petit doigt m’a dit qu’il n’etait pas etranger a toute cette pluie nocturne qui a apaise le brasier. Ne t’en fais pas Mimi, le Paseo va renaitre de ses cendres.

Les photos proviennent du site Las Terrenas.

Parranda Paradise, comme un gout de paradis pour nos toutous.

Tout le monde ou presque connait Sylvie pour son amour des animaux. Depuis de nombreuses années, elle fait partie intégrante du paysage de LT et s’investit corps et âme pour les animaux maltraités, abandonnés, laissés pour compte. C’est avec une autre amoureuse des chiens, Katrin Paulino qu’elle a créé de toute pièce, avec l’aide de dons de généreux donateurs un lieu unique Parranda Paradise. Ce vaste espace clôturé, magnifiquement arboré est devenu l’endroit de prédilection pour offrir à vos toutous de merveilleuses vacances durant votre absence. Les chiens y galopent en liberté toute la journée, même si des chenils et box aménagés ont été construits pour les plus timides ou les plus grognons.

Situé à la Barbacoa, El Limon, ce lieu en pleine nature accueille dans son enceinte les petits hôtes en vacances. Mais c’est aussi un refuge pour de nombreux rescapés de la vie qui ne peuvent survivre que grâce à l’argent issu de la partie hôtelière mais aussi grâce à vos dons. Tous sont en adoption, cependant les adoptants se font rares et les petits protégés de Sylvie demeurent souvent très longtemps à ses côtés. A elle par conséquent d’assumer les frais alimentaires et vétérinaires car ici tous les toutous sont logés à la même enseigne, dorlotés, promenés, chouchoutés. Si le cœur vous en dit, devenez le parrain d’un de ces petits cœurs à quatre pattes en aidant Sylvie à subvenir à ses besoins.

L’Hôtel, comment ca marche…

Laissez votre compagnon à Parranda Paradise et partez tranquille. Sylvie connait les chiens sur le bout des doigts et sait évaluer en quelques minutes s’il se plaira parmi tous ses copains, en totale liberté ou s’il préférera les observer de loin dans un confortable chenil d’où il sortira pour de longues balades bucoliques. Quotidiennement Sylvie vous donne des nouvelles de sa vie en vacances, vidéo ou photos. Modalités de paiement : tous les 1er du mois ou à votre choix à travers paypal.me/parrandaparadise ou western union.

Convaincus, n’hésitez pas à contacter Sylvie qui se fera un plaisir de répondre à toutes vos questions, à vous faire visiter si vous le désirez. Passez de belles vacances et pour qu’elles soient plus belles encore et sereines, assurez vous qu’il en sera de même pour votre toutou.

Contact :

+1 809 398 1366

paranda.paradise@outlook.fr

FB. Bonne Garde Silvia

Claude Perrin… le retour de l’enfant prodigue.

Après un long séjour à St Martin, plus de 10 ans, fatiguant, épuisant, mais aussi riche en belles rencontres, studieux et enrichissant, Claude Perrin est de retour en République Dominicaine pour une pré-retraite bien méritée.

Beaucoup le connaissent d’il y a 12 ans en arrière. Pour d’autres, voici son portrait en quelques lignes. Claude, c’est 45 ans de vie au contact des chiens, c’est dire qu’il les connait bien. Mais, pas que, il possède de facon intrinsèque un véritable don qui lui permet en quelques regards de communiquer avec le chien et bien sûr avec son maître. A l’instar de Cesar Millan, la vedette du petit écran, génial et charismatique, on peut dire sans ambages de Claude qu’il est « l’homme qui parle à l’oreille des chiens ».

Comportementaliste.

« Le comportementaliste canin est un spécialiste du comportement du chien qui va analyser la situation, comprendre les comportements gênants du chien suivi et proposer un plan de travail adapté selon la problématique. Ces comportements gênants peuvent être l’agressivité ou la peur par exemple. » En clair, la vie avec son chien doit être et ne peut être qu’un bonheur de tous les instants. Si ce n’est pas le cas, si une gêne s’est installée dans les rapports maître-chien, il est urgent de faire appel à un comportementaliste canin. Les promenades sont une torture, il détruit tout à la maison, il est agressif envers ses congénères, vos invités, vos enfants, voire vous-même, il a peur de tout, il aboie sans arrêt, il mange ses crottes, il fait ses besoins dans la maison, il refuse de vous obéir… bref, bonjour l’angoisse. A partir de maintenant, vous pouvez compter sur l’aide de Claude qui, à vos côtés fera tout ce qui est en son pouvoir pour que votre cohabitation maitre-toutou se passe comme un charme. Et, en vrai, ca fonctionne. Grâce à ses conseils, à sa patience, à son amour profond pour la gente canine, à son professionnalisme, j’ai pu vivre une vie sereine et dans un pur bonheur avec … 11 chiens.

Il vit à Cabrera mais est prêt à se déplacer chez vous à Las Terrenas ou alentours si la demande se fait sentir. Il suffira de mettre tous les protagonistes d’accord et de choisir un jour ou deux dans la semaine pour satisfaire le plus grand nombre.

Instructeur canin professionnel

Claude Perrin a profité de son long séjour à St-Martin, où il travaillait de nuit avec son binome chien, pour « reprendre » ses études, autant dire partir de zéro et gravir peu à peu tous les échelons pour décrocher le pas si simple diplôme francais d’instructeur canin professionnel grâce auquel il a pu monter sa propre boîte de surveillance. Ce diplôme lui a entre parenthèses également valu l’insigne honneur d’être choisi avec la team MolinaK9 de Santo Domingo pour être l’instructeur privilégié de la brigade canine de République Dominicaine.

En ce qui vous concerne, la protection de votre compagnon à quatre pattes reste à tous points de vue la plus efficace. Pour cela, il est indispensable, en même temps que l’apprentissage à la défense du maître d’inculquer à votre toutou une vraie obéissance. Les cours de dressage de Claude, tout en douceur, en récompenses, en reconnaissance du travail accompli par le petit élève sont d’une efficacité redoutable. D’une séance à l’autre, vous constatez l’évolution.

Molina K9 dog training

C’est tout naturellement que dès son retour au pays, Claude s’est rapproché de son ami Molina, créateur et dirigeant de MolinaK9 dog training à Santo Domingo. En partenariat avec cette prestigieuse team de professionnels du chien, Claude est en mesure de dénicher pour vous le chien qui vous correspond, dressé ou non. Ils sont en outre les seuls habilités en Rep. Dom pour proposer aux entreprises qui le demandent un Watchiman avec chien, excellente alternative aux watchimen armés que rien n’empêche de s’assoupir. Le chien, lui, ne dort jamais que d’un œil.

Convaincus, envie d’être en parfaite osmose avec votre quatre patounes, envie qu’il vous défende le cas échéant, n’hésitez pas, un petit coup de fil de ma part Claude Perrin . 809 923 3636

No stress…

Chuttt… aucune crainte à avoir ce coup-là. Juste pour vous montrer que très longtemps à l’avance nous sommes avertis des phénomènes cycloniques susceptibles de nous pourrir la vie.

Ils naissent majoritairement près du Cap Vert et le https://www.nhc.noaa.gov/ entre autres les suit depuis leur apparition. Donc, nous aussi. Chaque jour le pourcentage de risque cyclonique s’inscrit sur la carte très bien faite. 10%, 20%…de chance. L’item représentant l’intru change lui-aussi en fonction de son évolution… croix jaune, orange, rouge… etc. Tout est très clair et très fiable. Dès que le phénomène est suffisamment inquiétant pour porter un numéro, un ‘’tracking’’ est effectué, des jours a l’avance, définissant de manière plutôt précise la direction de la perturbation. Celle-ci est nommée dès qu’elle passe dans la catégorie cyclone (https://dorislasterrenas.com/2022/06/03/saison-cyclonique-2022-on-y-est/).

En l’occurrence à ce jour plusieurs phénomènes se baladent dans l’Atlantique, 2 en provenance d’Afrique et un dans le golfe du Mexique, autre lieu propice à la naissance de ces gros nuages charges d’ennuis. Sur les 2 phénomènes africains, l’un porte le numéro 2, fortement susceptible de se transformer en cyclone, donc d’etre nommé dans les 48 heures à venir. Son tracking l’éloigne de nos côtes, il devrait frôler l’Amérique du Sud et s’aventurer en Amerique Centrale, laissant bien tranquille les Caraibes.

Bon maintenant que vous savez comment faire… à vous de suivre vos cyclones… Belle journée très chaude en ce qui nous concerne et bel été.