Un an déjà que tu nous a quitté Paco, sans faire de bruit. Un an, c’est le temps nécessaire, dit-on pour refermer les plus grosses cicatrices du coeur. C’est vrai, on s’est habitué à vivre sans toi. En fait non, c’est pas ça. On ne te voit plus mais tu fais toujours partie du paysage et, quand on se fait plaisir en déjeunant dans ton petit lolo de la plage, et que tu nous observes du haut de ta photo, c’est comme si tu étais là. On plaisante avec Sarah, on se moque de ton sale caractère, mais c’est gentil tu sais. Ne t’en fais pas, Sarah veille bien sur ton petit resto, elle le chouchoute de tout son coeur, et, sans vouloir t’offenser, c’est même plus joli qu’avant. Bon, je te laisse, je sais que tu aimes ta tranquillité. N’empêche que demain, nous serons nombreux à penser à toi. Allez râle pas, vieux bougon, c’est juste parce qu’on t’aime. Bye bye Paco, repose en paix dans ton bel océan.
une présence indélébile …
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