Parfois on regarde les choses
Telles qu’elles sont
En se demandant pourquoi
Parfois, on les regarde
Telles qu’elles pourraient être
En se disant pourquoi pas
….
ll y a là les murmures
Un soupir, l’aventure
Comme emmêlés les cerfs-volants
Il y a là la littérature
Le manque d’élan
L’inertie, le mouvement
….
Ces subtiles paroles d’une très belle chanson de la trop mignonne Vanessa Paradis me rappellent l’éternelle dilemme de nos si nombreux restaurateurs de Las Terrenas…. Pas vous ?
« Parfois on regarde les choses telles qu’elles sont en se demandant pourquoi, parfois, on les regarde telles qu’elles pourraient être en se disant pourquoi pas…. »….
Et oui, il y a ceux qui n’attendent pas, le cul vissé sur un tabouret de bar ou un transat douillet, les yeux pointés sur l’horizon que la notoriété arrive ; il y a ceux qui se remuent les méninges et les fesses par la même occasion « en se disant pourquoi pas ». …. Ceux-là inventent des soirées, blanches de préférence. Avec amour et bienveillance, avec courage et passion, ils créent des moments magiques, intelligents, juste dans l’air de ce que désire leur clientèle. Rien de sulfureux, rien de très tendance, pas de DJ branché ni de mets ultra raffinés. Non, une succulente paella d’enfer, géante et savoureuse, des cochons grillés, des nappes blanches sur une foultitude de tables dressées les pieds dans le sable. Une ambiance bon enfant animée par Marlène et Vincent le plus souvent ou par le talentueux saxophoniste presque « maison » et la voix chaude du Maître des lieux, amoureux fou des accords éternels de la chanson française qui fait du bien aux oreilles. Une clientèle avide d’instants si précieux devenue amie et complice se presse à ces soirées prisées du tout LT. Les places sont chères même si le prix est tout doux et la fête se poursuit jusqu’au bout de la nuit. En toile de fond, le sable illuminé pour l’occasion, la mer infinie et, en point d’orgue, un feu d’artifice (bon celui-là si on pouvait l’éviter, mes chiens et moi en serions reconnaissants) et un fabuleux lâcher de lanternes chinoises sur l’océan. Si ça fait pas rêver ça! Si ça fait pas du bien!
Bravo Thierry pour ton énergie, ta gentillesse et ta créativité. Bravo pour cette belle Voile Blanche qui, bien sûr ne serait rien sans la jolie Isabelle et ton team d’enfer. On t’aime.
Et moi, j’adore cette chanson, différente….. tu me la chantes la prochaine fois que je te rends visite. OK!!!
Mille Merci ma belle Doris pour cet article plein de sincérité bienveillante à mon égard… je vais apprendre cette belle chanson…
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Tu m’appelles quand tu es prêt. Bon dimanche, bisous.
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